Partie explicite dans ce chapitreJe retourne mon téléphone et observe la petite photo d'elle à l'arrière de la coque de mon téléphone. Je serre le téléphone dans ma main le cœur en miette.
Ai-je fais le bon choix en la laissant entrer dans mon cœur ?
J'entame une énième cigarette et laisse la fumée envahir l'habitacle de la voiture. Je relis à nouveau ses nombreux messages encore sans réponse de ma part.
« Je sais que je t'harcèle depuis une semaine et je suis désolée. T'as peut-être besoin d'espace et de te retrouver avec ta famille en Turquie et surtout discuter avec ton père. Je ne t'embêterais plus, tu me contacteras quand tu en auras envie. Je t'aime. »
« Besoin d'espace »
J'ai seulement besoin de ta présence pour m'apaiser Kevork.Je compose son numéro et je n'attends que quelques secondes pour entendre sa voix à l'autre bout du fil.
Delilah : Siyah ?
Moi : Delilah.
Delilah : J'ai cru que je ne recevrais jamais ton appel ! Tu vas bien ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Pourquoi tu ne m'as pas donné de nouvelles pendant 1 semaine ?
Je ferme les yeux et tire une taffe en soufflant silencieusement la fumée de ma cigarette.
Delilah : Siyah ? -inquiète-
Moi : Parle moi.
Delilah : Quoi ?
Moi : Apaise mon cœur Delilah.
Comment te faire comprendre que mon père a fait ressasser tous mes démons pendant cette semaine de torture ?
Comment t'expliquer que je suis à deux doigts de tout envoyer valser et toi y compris ?
Delilah : Siyah... Qu'est-ce qu'il se passe ?
Sa voix s'est tout de suite faite plus douce en sentant sûrement ma douleur à travers le téléphone.
Moi : Change moi les idées Delilah.
Un léger silence prend place et je ferme à nouveau les yeux en entendant sa voix tremblante à travers le téléphone.
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Au dessus des nuages le soleil brille
General Fiction𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...