Moi : Bonjour madame Velasquez.- Bonjour Delilah, entrez.
Je retire mes chaussures à l'entrée et lui souris timidement, assez gênée.
Alma : Installez-vous.
Je m'assois timidement sur l'énorme canapé et croise les mains mal à l'aise d'être de nouveau ici.
Alma : Je vous sers quelque chose ?
Moi : Non merci.
Elle se sert un verre d'eau avant de le porter à ses lèvres et le reposer dans un silence assez pesant.
Alma : Je vous ai demandé de passer pour parler de mon fils.
C'était évident qu'on allait pas parler de la pluie et du beau temps.
Moi : Je vous écoute ?
Alma : Je devrais plutôt vous retourner la question.
Moi : En quel honneur si je peux me permettre ?
Alma : J'ai la nette impression qu'il se passe quelque chose entre mon fils et vous. Je me trompe ?
Moi : Votre fils vous a parlé de quelque chose ?
Alma : Mon fils n'est pas très bavard, surtout vous concernant.
Moi : Je ne suis pas une femme très bavarde non plus malheureusement.
Elle esquisse un fin sourire comprenant où je voulais en venir.
Je ne parlerais pas et elle l'a tout de suite compris.
Alma : Vous n'avez pas besoin de parler pour que je sache qu'il y a de la tension entre vous.
Moi : Il n'y aucune tension entre nous madame Velasquez.
Et puis quoi encore ? Je dois pleurer dans les jupons de ma belle-mère en me plaignant de ce que son fils me fait vivre ?
Certainement pas, autant crever.Alma : Vous pouvez m'en parler Delilah, je suis passée par là.
Moi : Je ne suis plus sûre de vous suivre.
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Au dessus des nuages le soleil brille
Ficção Geral𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...