Je regarde les cigarettes restantes dans le paquet et souffle en voyant qu'il n'en restait plus que 3.
J'avoue que j'y suis allée un peu fort en seulement deux jours mais elles m'ont relativement bien aidé. Je remets le paquet dans mon sac et continue ma marche pour rejoindre ma mère dans un petit resto pas loin du lycée.J'avais été pas mal surprise qu'elle m'appelle en plein cours pour qu'on aille manger ensemble après les cours mais j'étais aussi heureuse de passer du temps seule avec ma mère. Entre les préparations pour l'arrivée du bébé, les révisions et mon nouveau travail c'est assez compliqué de passer du temps en famille ces derniers temps.
- Dites moi que je rêve...
Je relève la tête et hausse un sourcil en reconnaissant la personne en face de moi.
Moi : Ne serais-ce Monsieur Amaël ?
Amaël : Mademoiselle Delilah se souvient du prince Amaël ? Quel honneur !
Je pouffe de rire et le toise de haut en bas avant d'hausser les yeux au ciel.
Ce prétentieux est toujours aussi séduisant.
Ses petites tâches de rousseurs me font toujours autant d'effets d'ailleurs.Moi : Qu'est-ce qu'un homme de ton envergure fait ici ?
Amaël : Un homme de mon envergure ?
Moi : Un fils à papa -rire-
Son rire cristallin me parvint aux oreilles et me fait sourire intérieurement.
Amaël : Entre fils et fille de papa on se comprend non ?
Je souris instantanément.
En plein dans le mille.Moi : Ce n'est pas que ta compagnie me dérange mais je dois rejoindre mon date.
Amaël : Un date ? Je suis curieux tout à coup.
Moi : Tu as toujours été curieux.
Amaël : Tu ne veux pas me révéler son identité ?
Moi : Tu veux déjà rencontrer ma mère ? C'est un peu tôt non ?
Amaël : -rire- J'aimerais remercier celle qui a mis au monde une femme aussi exceptionnelle.
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Au dessus des nuages le soleil brille
General Fiction𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...