𝒸𝒾𝓃𝓆𝓊𝒶𝓃𝓉𝑒-𝓆𝓊𝒶𝓉𝓇𝑒

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/!\ Scène explicite en milieu de chapitre /!\

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/!\ Scène explicite en milieu de chapitre /!\















Je me penche vers mon téléphone et regarde l'heure pour la énième fois.

00h20

Dans un peu moins de 9h je dois être debout pour aider à la préparation du fameux barbecue organisé par mes parents mais je ne trouve absolument pas le sommeil.
Siyah est constamment dans mes pensées et je commence vraiment par croire qu'il se passe quelque chose de grave.

Il faut que j'aille vérifier à nouveau.

J'enfile un sweat ainsi qu'un jogging avant de me diriger prudemment vers le salon avec mon téléphone et mes clés en main. Tout le monde dormait pour être en forme demain alors j'avais la voie libre pour sortir sans me justifier.
Une fois la porte franchie je souffle de soulagement et marche rapidement vers son bâtiment.

Ne m'abandonne pas à nouveau Siyah...
Je ne tiendrais pas cette fois-ci.

Je reprends mes esprits et chasse mes mauvaises pensées une fois à l'intérieur du bâtiment. Je monte la boule au ventre jusqu'à son étage et souffle un peu pour reprendre mon souffle.

La vie de grosse.

Je toque doucement à sa porte et attends patiemment un quelconque signe de sa part. Je tente à nouveau le coup de nombreuses fois avant d'abandonner.
Il n'est toujours pas là.

Au moment de partir j'entends la porte du bâtiment s'ouvrir puis se refermer et des bruits de pas monter lentement les escaliers
s'approchant de plus en plus de cette étage.

C'est peut-être Siyah ?

Mais sans rien comprendre j'entends la porte derrière moi s'ouvrir en trombe et je me sens être tirée brutalement à l'intérieur avant de voir la porte se refermer de justesse avant que la personne n'atteigne cet étage. Je n'ai pas le temps de crier qu'une main vient durement se plaquer contre ma bouche et un bras m'entourer par derrière pour m'empêcher de faire un quelconque geste ou bruit. La panique m'empêche de réfléchir correctement et je sens mon cœur tambouriner contre ma poitrine ne sachant pas qui me retenait prisonnière dans l'appartement complètement plongé dans le noir.

La pression de sa main contre ma bouche se fait beaucoup plus forte en sentant que la panique me gagnait.

- Chuut...

Au dessus des nuages le soleil brille Où les histoires vivent. Découvrez maintenant