Voilà trois jours que je suis ici et je ne me sentais toujours pas à ma place dans cette maison. À chaque fois que je descendais dans le salon je sentais leur regard sur moi et une tension pesante apparaître, mais une fois que je quitte la pièce les discussions reprennent.
Je ne disais rien mais cette situation pesait de plus en plus sur mon moral au fil des jours.
Entre les piques d'Ivána et les menaces d'Isaac, j'en revenais même pas à me demander pourquoi j'étais revenue. Mais je l'ai fais uniquement pour protéger ma famille.- Tu viens manger ?
Je me redresse de mon lit et fais face à Hamza.
Le seul qui me parle dans cette maison d'ailleurs. Je m'étais excusée de mes paroles de la dernière fois bien évidemment mais il n'avait pas l'air de m'en avoir réellement voulu en fin de compte.Moi : Non merci je mangerais plus tard.
Hamza : Il est déjà 14h.
Moi : Je sais.
Hamza : Ici on préfère manger tous ensemble tu comprends ?
Voyant qu'il n'allait pas lâcher l'affaire je saute du lit à contre cœur et le suis. Je m'installe à ses côtés sans un mot. Je sens immédiatement quelques regards sur moi ce qui me mets fortement mal à l'aise surtout qu'Allan est encore aux abonnés absents.
Sûrement dans son bureau comme d'habitude.
Je remarque immédiatement une nouvelle tête parmi le groupe. Un homme d'une vingtaine d'années, proche de la trentaine je dirais. Un brun aux yeux bleus. A peine son regard croisé que je sens mes membres se liquéfier sous son regard bleuté d'une intensité déconcertante. Son regard lui donnait un charme unique.
- Je crois qu'on n'a pas été présenté.
Je stresse immédiatement en voyant qu'il s'adresse à moi.
- Je me présente, Arseni, et toi Delilah je suppose ?
Arseni ? Je n'avais jamais entendu, c'est original. Je me demande d'où ça vient...
Moi : Oui c'est ça.
Arseni : Enchanté Delilah.
Il me lance un petit sourire en coin et me détaille légèrement.
Andrès : Je vois que l'alchimie passe bien ici *rire*
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Au dessus des nuages le soleil brille
Ficção Geral𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...