J'enfile de nouveaux vêtements rapidement avant de sortir de la salle de bain et retourner dans la chambre où elle s'est endormie depuis presque 1 heure déjà. Je remonte légèrement la couverture sur son corps nu et me penche pour déposer un chaste baiser sur son front.Je prends ma carte de chambre et sors de celle-ci en veillant à ne faire aucun bruit qui la réveillerait. Je passe une main sur ma barbe légèrement mouillé à cause de la douche que je viens de prendre et descends jusqu'au 3ème étage pour toquer à la porte de la chambre qu'elle partage avec Lyam.
J'entends des pas s'approcher puis la porte s'ouvrir pour laisser place à une Lyam complètement bronzée et presque endormie.Lyam : Tu m'as envoyé le message y'a plus de vingt minutes. T'as autant de mal à descendre 4 étages ?
Moi : Bonsoir Lyam. Mon vol s'est bien passé merci.
Lyam : Ouais bonsoir bref, j'ai failli m'endormir.
Elle se décale pour aller me chercher une nouvelle tenue que je lui ai demandé de me préparer pour sa sœur.
Lyam : Vous avez fait tellement de cochonneries qu'elle a même plus de vêtements propres à se mettre.
Elle me passe nonchalamment le tas de vêtements dans les mains et s'apprête à refermer la porte aussitôt mais je bloque la porte de justesse.
Moi : C'est quoi ton soucis avec moi ces dernières semaines Lyam ?
Lyam : Dégage ton pied de la porte et laisse moi aller dormir.
Je la pousse légèrement sur le côté et entre en refermant la porte derrière moi alors qu'elle hausse les yeux au ciel en sachant qu'elle ne faisait pas le poids et préfère aller s'installer sur son lit pour regarder la télé en m'ignorant.
Moi : Lyam -fermement-
Lyam : Si tu veux prendre directement sa valise prend là et va t'en.
Moi : Quoi ?
Son regard dur se fait plus insistant sur la télé et je sentais d'ici la rage qui consumait son corps entier.
Elle est prête à exploser.Moi : Depuis quand tu prends des pincettes avec moi ?
Lyam : Depuis que ma sœur me l'a demandé peut-être ?
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Au dessus des nuages le soleil brille
General Fiction𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...