*Chapitre 91* Tu pars.

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*Chapitre 91*

 

*Point de vue de Zayn, Los Angeles, devant l’hôtel, 17h45*

Nous sommes installées dans le petit salon de ma chambre. Clea, les mains posées à plats sur ses genoux, semble anxieuse et évite mon regard.

Moi : *attrapant ses mains* Clea regarde-moi…

Clea : Je t’écoute Zayn, explique moi.

Moi : Clea je, crois-moi, il ne s’est rien passé avec cette fille. Je t’aime beaucoup trop pour ne serait-ce qu’imaginez te tromper. Il me semble que c’est toi que j’ai demandé en mariage, pas elle. Je t’aime toi et personne d’autre.

Clea : Alors c’était qui cette fille ?

Moi : En fait je… Cette femme est une professeur de danse.

Clea : Une quoi ?

Moi : Tu sais combien je suis mauvais danseur, et il y a le mariage où il va falloir danser. Et je ne voulais pas que tu ais honte de moi, alors j’ai trouvé cette solution. Si cette fille était dans ma chambre quand tu es arrivée, c’est parce que nous sortions d’une répétition et elle m’a posé des questions sur toi, comment tu étais, ce que tu aimais danser… Je lui ai proposé de venir boire un verre dans ma chambre et pendant tout ce temps je n’ai pas arrêté de parler de toi, rien que de toi. Je n’ai pas cessé de lui dire que tu étais la femme de ma vie, que je ne voudrais pour rien au monde te perdre, que tu étais une perle. S’il te plaît Clea, crois-moi. Pour l’amour du ciel, jamais je ne pourrais faire ça. Tu es la seule femme de ma vie, la seule qui compte et qui comptera à jamais.

Clea : Zayn… Je ne sais pas quoi te dire. Je suis désolée d’avoir douté de toi. Et puis tu sais, je t’aime comme tu es, mauvais danseur ou pas.

Une vague de soulagement et de bonheur s’insuffle alors dans mes veines. Je sers Clea fort dans mes bras avant de l’embrasser dans le plus grand des réconforts. Je n’arrête pas de lui murmurer combien je suis désolé et à quel point je l’aime.

 

*Point de vue de Liam, appartement Louna, 18h30*

Moi : Mon cœur, tu es où ?

Louna : Je suis dans la salle de bain.

Je quitte le salon et rejoins la salle de bain. Je m’arrête sur le pas de la porte et regarde Louna étaler une crème nourrissante sur son ventre.

Louna : Tu voulais me parler ?

Moi : Oui. Le management m’a appelé…

Louna : Ouh la…

Moi : Je vais devoir retourner à Los Angeles pour des interviews.

Louna : Non…

Moi : Je suis désolée ma chérie.

Je vais la prendre dans mes bras et une nouvelle fois, je sens mon cœur battre plus fort lorsque le ventre rebondi de Louna vient s’écraser contre le mien, me rappelant que dans quelques moi je serais lié à Louna à vie. Je dépose un tendre baiser sur son front puis pose mes mains de chaque côté de ses bras pour l’écarter quelque peu de moi.

*You Fell Into My Arms...*Où les histoires vivent. Découvrez maintenant