𝐒𝐄𝐂𝐎𝐍𝐃𝐄 𝐕𝐈𝐄 [ ᴏɴᴇᴜs ]

Ami

- Monsieur Son, vous devriez faire attention à là où vous marcher la prochaine fois, allez retourner en cours. Réprimanda un homme d'une trentaine d'année portant une blouse.

Dongju se leva de la chaise où il était assis il y a quelque second, le brun avait été emmener pas le blond à l'infirmerie malgré ses plaintes et, il avait fini assis sur une chaise avec l'infirmier lui demandant ce qu'il s'était passer pour qu'il sois dans cet état aussi alarmant. Bien sûr, le brun n'avait rien dit, c'était Gunhak qui avait menti en disant que, le plus jeune était tombé dans un trou devant le lycée. 

Au final, les deux compères sortirent de l'infirmerie toujours silencieux puis, la cloche sonna signifiant l'inter court, alors que Dongju avançait pour se rendre dans la salle de cours, le blond le stoppa en lui agrippant le bras. Ce geste fit retourner le brun qui, dans un regard, demanda au plus grand ce qu'il voulait.

- On sèche. Fut sa réponse avant de le tirer jusque dans la cage d'escaliers.

Surpris, le brun se laissa entraîner dans cette folle idée, pourquoi ne pas aller en cours simplement aujourd'hui, il n'en avait pas envie non plus, alors séché semblait être une bonne idée. Il récupéra son poignet lorsqu'ils arrivèrent sur le toit alors que le blond avança toujours, le vent donna des frissons au plus jeune mais le peu de soleil le réchauffa rapidement, un soupirent lui fit tourner la tête vers un banc où venait de s'asseoir le plus vieux. Celui-ci tapota la place libre à côté de lui mais, le brun s'approcha seulement du banc, et resta debout fixa l'horizon pour évité le regard de son camarade.

- Dongju, je ne te ferai rien si tu t'assois à mes côtés. Commença Gunhak. 

Il y eu un silence. Quel idée stupide de séché avec la personne que Dongju ne voulait absolument pas voir.

- Tu veux bien faire des efforts ? Reprit il délicatement.

- Des efforts ? Tu te moque de moi, c'est toi que veut m'aider, j'ai juste dit que tu pouvait essayer, j'ai jamais dit que je ferai d'effort. Prononça sèchement son interlocuteur.

Un autre silence fit place, plus glacial que le précédent.

- Je m'appelle Kim Gunhak, j'habite à 10 minutes du lycée mais je suis toujours en retard car j'aime pas les cours, heureusement j'ai des amis super qui prennent toujours mes cours quand je suis absent mais qui adore me taquiner. Mes parents sont mariés et heureux, même si ma mère se plaint souvent du travail de mon père, j'ai aussi un petit frère. J'ai redoublé parce que, avant, je m'en foutais complètement des cours, voilà, c'est moi. Déclara le jeune Kim en se retournant pour faire face au brun. 

- Je sais que je gagnerai pas ta confiance comme ça mais, viens, on recommence à zéro. Continua t-il.

- Recommencez à zéro ? Répéta Dongju incrédule.

- Oui, faire comme si on ne se connaissaient pas et que l'on apprennent à se connaître en devenant ami ! Répondit le blond.

- Devenir ami. Pour que m'utilise plus facilement, c'est ça ? 

- Quoi, mais pas du tout ! Je ne suis pas comme ça, je hais les personne manipulatrice, crois moi. Supplia Gunhak.

- Te croire.

- Oui... Je me doute que ça vas être difficile vu comment les autres personnes te traites mais, je te jure je ne veux que ton bien. 

Un coup de vent ramena le silence devenu angoissant pour le blond, si Dongju refusait qu'est ce qu'il ferai ? Il voulait lui tendre sa main mais, seul le jeune Son pouvait décidé si il l'attrapait ou non. 

Pendant ce temps, dans la tête de Dongju c'était le bazar, devait il vraiment faire confiance à cet inconnu qui aller bousculer sa misérable vie ? Devait il le laisser rentrer dans sa vie ? Quel serai les conséquences si il le laisser faire ? Pouvait il vraiment être aider ? Même sauver ? 

Puis, le calme, à quoi bon toute ses questions. Peut-être qu'il retrouverai un peu de bonheur. Ou alors, il aurai raison mais il ne ressentirai rien, déjà trop abîmé par la trahison. Qu'importe.

- Je m'appelle Son Dongju, et apparemment je suis dans même classe que toi. Annonça le brun. 

Ou peut-être venait il de signer sa destruction total, dans tout les cas, la roue était lancer. 

[ Devenons amis, Kim Gunhak. ]