Craquage

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Les prunelles du brun laissèrent apparaîtraient une lueur de peur, Dongju recula alors que son père avançait vers lui avec un regard noir, il allait fuir quand on lui attrapa brutalement le bras et le jeta au sol. Un petit gémissement de douleur sorti de sa bouche, quand il réouvra ses yeux, ses parents étaient au dessus de lui, les yeux enragé, ils étaient près à le blesser encore plus qu'il ne l'était.

- Toi, comment ose tu venir aussi, même dans la mort tu ne laissera donc jamais ton frère tranquille ! Commença la femme avec une voix aiguë et colérique. 

- Tu n'as aucune dignité. Venir sur la tombe de ta victime. Quel genre de monstre est-tu. Continua l'homme froidement.

Tremblant et chouinant, Dongju tenta d'articulait quelques mots malgré sa respiration entrecoupait.

- J-je ne... je ne l'ai pas tué... Je- j'ai le droit d-

- Tu n'as aucun droit, arrête avec tes conneries, tu as assassiné ton frère, tu l'as fait travaillé comme un fou, il c'est fait harceler par ta faute ! Tu l'as laissé vivre un enfer pour que tu es une belle vie, sur son dos. Tu n'es même pas venu à son enterrement. Il t'a offert ta vie, et tu l'as remercier à l'oubliant, et tu ose encore dire que tu es son jumeau. Tu n'es qu'un ingrat, un égoïste, un sale goss-

- Vous osez me dire ça alors que c'est vous qui nous avez banni de votre maison... Coupa le brun le regard apeuré.

- Petit avorton, ferme là, nous ne sommes pas causez la mort de notre fils préféré, c'est juste toi. TOI ! Hurla le père en lui donnant un coup de pied dans l'estomac.

- Mon dieu, n'ai-je pas était une bonne mère, pourquoi avoir fait vivre ça à ton frère, tu n'es pas donc pas humain... Je ne suis pas ta mère, je ne le suis plus.

- Tu ne l'es plus depuis un long moment déjà ! Renchérit le brun un flot de larmes dévalant ses joue enragé par les pseudo victime que ses parents prétendaient être.  

- Ferme là, salop, ne viens plus nous voir, ne reviens pas ici. Un tueur ne devrait pas être autorisé à venir, laisse ton frère reposé en paix. Et oublie nous, nous ne sommes plus rien pour toi, comme tu l'es pour nous. Chérie, allons y. 

Puis, le couple partit laissant leur ancien fils allongé sur le sol, pleurant en boule, fixant la tombe de son défunt frère. Ils avaient raison, à quoi bon venir ici alors qu'il n'avait pas été présent pour son frère, il avait vécu sa vie sur les sacrifice de son frère, pour cela, il s'en voudrai toute sa vie. 

Il  commençait maintenant à faire nuit, le jeune ne s'était toujours pas calmé, il n'y arrivait pas, alors, il se leva, ignorant la pierre de son frère et se dirigea vers la ville. Sa seule envie était de faire taire ses voix dans sa tête, d'oublier la rencontre avec ses parents, son frère. Il croisa nombreuses personnes qui le dévisagea, en même temps, on aurai dit un zombie. Ses yeux était bouffi et rouge laissaient encore échapper des larmes, ses lèvres étaient pâteuses, ses affaires un peu déchiraient et boueux, et ses cheveux étaient en vrac. Il faisait pitié, mais il s'en contre fichait, il ne ressentait rien, juste un vide. Il arriva devant une petite superette, il ne chercha pas, rentra et alla prendre plusieurs bouteille d'alcool. Le vendeur le regarda, inquiet et lui demanda sa carte d'identité, Dongju exécuta le demande comme un robot. Il avait 18 ans, c'était un avantage d'être né en Janvier, alors, malheureusement pour le commerçant, il laissa le brun ressortir avec son graal. 

Sur le chemin de sa maison, il en avait déjà descendu deux, le Son ne tenait pas l'alcool, alors il avait été ivre à sa première bouteille. Par chance, il avait réussir à atteindre son but malgré l'alcool dans son sang et les inconnus un peu glauque qu'il avait croisé, il avança et pénétra dans la maison, la bouteille dans une main et le reste dans un sac en plastique tenu par son autre main. Quand la porte d'entrée s'était ouverte, les habitants s'étaient précipités devant avec des visage affolé, et l'état de leur ami n'allait pas les faire aller mieux. Dongju se mit à rire devant l'air de ses amis, qui le fixèrent une lueur peiné dans le regard. 

𝐒𝐄𝐂𝐎𝐍𝐃𝐄 𝐕𝐈𝐄  [ ᴏɴᴇᴜs ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant