𝐒𝐄𝐂𝐎𝐍𝐃𝐄 𝐕𝐈𝐄 [ ᴏɴᴇᴜs ]

Apaisement

Après la soirée, le calme était revenu, personne n'avait abordé le sujet du dernier soir. Il n'y avait rien à dire, chacun avait révélé son passé et, ceux-ci avaient comme disparu. Ils s'acceptaient tous, c'était le principal, même qu'ils s'aidaient encore plus maintenant. Le lendemain matin, Dongju avait été attaqué par un mal de tête dû aux bouteilles qu'il avait enquillé la veille, mais Gunhak avait pris soin de lui toute la journée. Maintenant qu'il savait tout il se sentais plus rassuré, il avait la conviction qu'il pourrait aider son cher DongDong. 

Quand à Giwook, celui-ci c'était réveillé en douceur, et avait été accueillit dans le salon par des marmottes, il avait même pris une photo pour leur rappeler ce moment. Lorsque le brun s'était levé, le bleuté lui avait foncé dans les bras en s'excusant mille fois, bien sûr la réaction du plus vieux avec était calme. Après tout, son ami n'avait rien fait de mal que l'aider, il n'allait pas et ne voulait pas le blâmer pour s'être inquiétait de son état. Le plus jeune avait été rassuré d'entendre ça, un poids s'était comme enlevé de ses épaules, il s'était sentit tellement coupable hier. Si il n'avait pas raconté le côté sombre du brun, il n'aurai pas fait de crises, mais ce qui était fait était fait. Alors Giwook était reparti joyeusement chez lui après avoir saluait tous ses nouveaux amis et avoir déjeunait, il était content d'avoir enfin pu se libérer, cela faisait un moment qu'il savait l'histoire du Son mais qu'il ne pouvait la dire à personne. Ce confier faisait du bien, il ne pouvait pas dire le contraire.

~~~~

Une sonnerie retentit, signifiant la pause repas, tous les élèves quittèrent la salle accompagné de leur professeur. Dans le couloir, une tête blonde accompagné d'une brune se séparèrent du troupeaux allant vers la cafétéria, pour se diriger vers le toit où se trouvait déjà le reste du groupe. Quand la porte s'ouvrit, une brise d'air caressa le visage de Dongju qui ferma les yeux pour prendre une grande inspiration, déjà exténuait de sa journée. 

Les garçons avaient repris les cours depuis trois mois déjà, et ils n'en pouvaient plus déjà, les examens finaux approchaient à grands pas, et la charge de travail avec doublé. Mais malgré le burn-out qui les touchait presque tous, ils était heureux. Leur vie se passait assez bien, aucun problème n'avait montré le bout de son nez, même que les problèmes disparaissaient peu à peu. Le brun avait enfin réussi à s'ouvrir, même si c'était encore impossible pour lui d'accepter toute cette attention pour lui, il mangeaient et parlaient petit à petit aux autres, pour leur plus grande joie cependant, il continuait a avoir des périodes de rechute dans lequel il préférait être seul. Il n'avait plus peur de se balader dans le lycée, toujours accompagné de la même bande, même que les rumeurs s'étaient calmées. Puis ses harceleurs avaient été exclus quelques temps, le blond avait fait un sorte qu'ils ne s'approchent plus de son protégé, il avait aussi essayait de faire taire les bruits de couloir mais le brun lui avait dit de laisser tomber. Il s'était habitué puis, personne ne le croirai si il disait la vérité et il n'en avait rien à faire, de moment que ses proches savaient la vérité. 

Hwanwoong reprenait du poids à son rythme et avec l'aide de noiraud, celui-là n'était jamais loin pour aider les autres ou pour être une épaules sur laquelle pleurer, même si il passait beaucoup de temps à se souciait de la santé du rosé. Même que Seoho et Keonhee avaient parié que Youngjo craqué pour leur ami le minimoys, à l'entente de ce parie Gunhak avait simplement ris en disant qu'il ne parierait pas pour quelque chose d'aussi évident et, Dongju avait simplement sourit en ajoutant qu'il n'était pas sûr que se soit le noiraud qui avait un crush.

Pour Keonhee, le mois dernier avait été dur, il avait revu l'un de ses anciens camarade qui lui avait agité, comme une frite, un comprimé qui était maintenant son cauchemar. Par chance, Dongju et Seoho l'avaient tiré hors des griffes du drogueur, mais après cette rencontre le gris avait eu une période mouvementé, son envie de consommer était réapparue. Il s'était enfermé dans sa chambre pendant son cycle, il ne voulait pas blesser ses amis sachant qu'il pouvait être violent, mais les garçons l'aidaient tout de même en lui faisant des repas ou en lui parlant à travers la porte. Puis il s'était calmé vers la fin du mois, il avait survécu à cette étape et il en était fière. 

L'ambiance dans leur groupe était chaleureuse, à croire que la soirée à raconter leur passé les avait encore plus soudé. Evidemment quelques fois, des questions sur le vécu d'un des garçon étaient posées, mais elles étaient vite résolues, il n'y avait plus de tabou entre eux. Ils avaient même instauré une règle "plus de mensonge ou de secret", bien entendu ils pouvaient en garder quelques uns, mais le but de cette règle était de faire à comprendre que, qu'importe l'ennui ils seraient tous là pour se soutenir. Si une personne extérieur les regardait, elle vous direz qu'ils se connaissent tous depuis longtemps, pourtant chacun était venu un par un. Ils ressemblaient à une famille, non, ils étaient une famille. Et personne ne pouvais briser une famille.

Assis en rond, la petite troupe dégustait son repas avec des rires et des cris, comme à leur habitude. Rien n'était jamais vraiment paisible avec eux, surtout quand Seoho et Hwanwoong ou Keonhee été dans les parages à se crêpé le chignon. Puis quand ses trois là commençaient à se bagarrer, Gunhak et Youngjo se mêlaient à eux pour les séparer et les calmer, tous cela escortait avec les gloussement du plus jeune. Ils en faisaient boucan, mais c'était devenu leur quotidien, leur rituel, leur empreinte. Et ils aimaient. 

Quand la cloche retentit, ils se rendirent tous de nouveaux dans leur salle, l'après-midi allait être longue pour le Son qui n'avait pas réussi à fermer l'œil de la nuit. Il avait été perturbé par ce numéro, le même que depuis un mois et demi, ce numéro lui avait été familier mais il avait été incapable de savoir pourquoi. Pourtant, Dongju ne connaissait pas tant de personne que ça, même qu'il ne donnait son numéro à personne, sauf ses amis proches. Alors voir autant de message d'un inconnu le perturbé, il n'avait encore jamais répondu à cette personne, cherchant qui cela pouvait être sans espoir. Mais hier, vers 3/4 heures du matin, il avait eu sa réponse. Et celle-là l'avait pétrifié sur place, il en avait eu des frissons agrémenté de quelques larmes silencieux, et il n'avait plus ouvert ses messages après cette révélation plus qu'effrayante pour lui.

Les ennuis ne s'arrêteraient jamais dans sa triste vie ?

[ Un peu d'apaisement ]