𝐒𝐄𝐂𝐎𝐍𝐃𝐄 𝐕𝐈𝐄 [ ᴏɴᴇᴜs ]

Croire

Après une petite discussion dans le salon, les garçons avaient rassuré Dongju comme ils le pouvaient, puis ils avaient décidé de finir leur film avant d'aller se coucher. Cette fois-ci le brun resta, il se plaça assis sur le sol, adossé au canapé. Il ne voulait pas retourner dans sa chambre, du moins, pas tout de suite. Il fut aussi tôt attaqué par deux boules de poils qui lui montèrent dessus. Il profita du moment, il n'avait pas fait de soirée film depuis un très long moment, alors, la faire maintenant lui allait, même si le film était presque fini. 

Il était bien, il s'était rendu compte que les garçons ne l'avaient pas jugés, ni mis à la porte comme il le craignait. Non, ils avaient pris le temps de comprendre et ensuite, de réconforter le plus jeune. Jamais dans sa vie, le brun avait été aussi bien écouter, jamais il n'avait ressentis se sentiment de soulagement. Finalement, il avait peut-être peur pour rien, ses cinq colocataires n'étaient peut-être pas comme les autres, peut-être, allaient ils être les premiers vrai amis de Dongju. A cette pensée, le brun laissa un sourire se glisser sur ses lèvres, caressant le pelage des deux chiens, le brun se dit qu'il allait réussir à, peut-être, se reconstruire un peu. 

Mais, un éco résonna dans sa tête. 

"Ils ne savent pas tous. Ne te mens pas."

Dongju perdu son peu de satisfaction, c'est vrai, il ne s'était pas vraiment confier, il avait juste expliqué ses crises sans vrai détails. Ils fuiraient à coup sur si le brun leur racontait tout ses problèmes, ils ne le croiraient pas, après tout, même la plus féroce des vérité ne peut pas triomphé contre des rumeurs grandissante. Le brun ne devait pas s'attacher plus, oui, il l'avait oublié, personne ne le croit jamais. 

Il se leva, la fin du film n'étant toujours pas arrivait, pourtant, le brun parti. Il ne pouvait pas rester près d'eux, pas après la révélation qu'il venait de se faire. Il retourna dans sa chambre, laissant le bordel pour cette nuit, et se mis assis sur son lit. Face à lui se trouvait un cadre, avec une photo de lui et son frère, il là pris et la fixa.

- Dongmyeong... Je crois que je vais encore souffrir. Pourquoi ? Pourquoi je m'attache tous le temps mais que je regrette après, hein, dit le moi s'il te plaît... Je les apprécie, beaucoup même, peut-être que c'est trop rapide, mais j'ai peur. Je devrais arrêter de m'attacher, sinon je n'arriverai pas... Car, ne me mens pas, on le sais tout les deux, quand il entendront le rumeurs dans le lycée, ils ne seront plus gentil avec moi, il ne trouverons dégelasse, je suis naïf de croire ça.

- Je pense pas que sois naïf, je crois en revanche que ta confiance à trop été brisé.

Dongju se retourna vers la voix, et il constata qu'une petite silhouette se trouvait dans l'encadrement de sa porte.

- Désolé, j'ai pas toqué mais je voulais pas t'interrompre alors que tu parlais à ton frère, je suis venu sinon notre cher Gunhak serai venu inquiet comme pas possible !

La silhouette rentra dans la pièce, fermant la porte en même temps, puis il s'assit au bord du lit en souriant. 

- On traîne ensemble mais on ne sais pas vraiment présentait je trouve, je m'appelle Yeo Hwanwoong, mais tu le sais déjà ! Je suis ami avec les garçons depuis, 2 ans un peu près et, je peux te dire que, au début je ne les croyaient pas. Je ne sais pas si tu es comme mon moi d'avant, mais je veux que tu te sens bien.

Le brun, perturbait par la déclaration du rosé resta muet, avant de reprendre, la tête baisser.

- Mais, je me sens bien... 

- Ne mens pas, ce n'es pas bon pour la santé ! Si tu es parti, c'est que quelque chose que tu as pensé, là dedans, Hwanwoong tapota la tempe du plus jeune toujours en souriant, ta fais croire quelque chose de faux. Et, de ce que j'ai entendu avant de rentrer, j'ai raison. 

Il y eu un silence, Dongju se sentait gênait.

- Pourquoi penses tu que l'on arrêter d'être gentil avec toi ? Tu sais, on est pas gentil avec toi. Nous somme juste vrai, on a rien à te cacher, ni à te reprocher, alors pourquoi on ne serai pas réel avec toi ?

- Parce que je suis horrible, et brisé de partout, alors vous avez pitié.

Le plus petit se mit à rire.

- Alors, si tu es brisé que sommes nous ? Tu sais, personne dans cette maison n'est lisse et neuf, nous avons tous des fissures plus ou moins grandes ou apparentes. Si on t'aide, ce n'est pas par pitié mais plutôt, car on sais ce que tu peux ressentir. On en parle pas souvent, ce sont des souvenir douloureux et encore frais pour certains, mais on a ou on a eu des problèmes aussi... A croire que l'on est une bande de cassé ! 

Hwanwoong se remit à ricaner en regardant son ami, puis dans un geste doux, il lui tapota l'épaule, le rassurant.

- Mais je m'égare, la seule chose que tu dois retenir est que personne sous ce toit ne te veux du mal, personne dans cette colocation ne te refera souffrir, et que tout le monde dans cette grande famille veut que ton bien. Alors, si une petite voix viens te dire que tu ne mérite pas cette attention ou alors que l'on va t'abandonner, dit lui de bien aller se faire, car c'est totalement faux ! 

- Mais, vous ne connaissez pas mon histoire, je sais que vou-

- Alors raconte là nous quand tu voudra !

- Mais, vous ne me croirez pas...

- Qui as dit que l'on croyez les rumeurs ? Tu les crois toi ? Eh, petite tête, tu es le seul à pouvoir rétablir la vérité, mais si tu crois ses mensonges tu donnera raison aux autres. Et sache que dans cette maison personne ne crois ses bruits de couloir.

Les yeux grand ouvert, le brun observa le rosé avec de laisser une larme coulait, et de le remercier. C'était les mots qu'il avait besoin d'entendre, les mots qui l'aiderai à surmonté tout, il avait tord, tord d'avoir peur. Oui, Dongju devait arrêté d'écouter ses pensées sombres, ça allait être difficile, il allait devoir se battre avec lui même mais, il aurai quelqu'un sur qui compter. Il devait au moins essayer.

[ On te crois ]