𝐒𝐄𝐂𝐎𝐍𝐃𝐄 𝐕𝐈𝐄 [ ᴏɴᴇᴜs ]

Problème

Le soleil était haut dans le ciel, on pouvait entendre des pas précipitaient, des rires, des cris, tous venant d'un même endroit, le lycée. Celui où se trouvait Dongju, assis sur le toit accompagnait de la même bande pot de colle que d'habitude, ceux-ci dégustaient leur repas des étincelles dans les yeux, un sourire sur le visage et des conneries dites ou faites à tout bout de champs. Mais, en dépit du bouquant qu'ils faisaient, il était bien. Lorsqu'il écoutait les autres rires, ou qu'ils voyait Hwanwoong et Keonhee débattre sur qui Seoho apprécié le plus, il ne pouvait s'empêcher de se sentir à sa place. Il se sentait bien, pourtant, il avait peur.

Après tout, c'est lorsque l'on s'attache que ça devient plus douloureux, et la trahison n'est jamais loin de Dongju. Alors même si il commençait à se sentir bien, il préférait s'éloigner du groupe et ne pas s'attacher, c'était la meilleure solution pour ne plus être blesser. Le brun avait même songeait à ne plus les côtoyer, arrêter la catastrophe avant qu'elle ne le détruise mais, cette chaleur qu'ils lui avaient apporté le retenez. Alors, il avait opté pour la solution plus simple, étant de moins les fréquenter, seulement, ils étaient pires que des sangsues ! 

- Tu ne mange rien, encore, Dongju ? Constata Gunhak tristement.

Le concerné se retourna vers la voix et hocha la tête négativement prétextant un mal de ventre, il n'avait surtout pas d'appétit, même si il se sentait bien, sa faim ne revenais pas. Avec tous les évènements qui étaient arrivées en peu de temps, son corps refusait de se nourrir, et cela ne dérangeait pas notre brun. Perdu dans ses songes, il sursauta quand une boule rose lui sauta dessus, un bout de viande, entre ses baguettes, que Hwanwoong lui fourra dans sa bouche en lui ordonnant de manger. Evidemment, Dongju tenta de recracher mais Seoho et Keonhee c'était joint au rosé, et ils avaient mis leurs mains sur la bouche du plus jeune l'empêchant de dégager la nourriture de sa bouche. C'est donc par obligation que le brun avala son bout de viande après l'avoir mâcher, après cela, les garçons le lâchèrent fière d'eux, ignorant le regard noir de leur victime. 

Quand à Gunhak et Youngjo, ces deux là continuaient de manger comme si de rien n'était. Même si les deux pensaient la même chose, les trois autres devraient laisser Dongju tranquille. 

Lorsqu'ils eurent fini, ils décidèrent de retourné en cours malgré l'envie manquante, Dongju fut le premier à partir puisque les autres restèrent encore un moment afin de se purifier les poumons. 

Le brun fut seul dans la salle de classe durant une dizaine de minutes, avant que d'autres élèves arrivent, puis que Gunhak se met derrière lui. Le cours se passa rapidement en même temps, c'était le dernier de la semaine, il serai en week-end après, mais ça ne signifié pas totalement la fin de semaine pour Dongju qui allait travaillé samedi et dimanche. 

- Pst, Dongdong, Youngjo a fini après aussi, ça te dit on retourne au parc ? Avait demandé son camarade derrière. 

A l'entente de ce surnom, Dongju écarquilla les yeux mais reviens vite à la réalité.

- Non, je ne peux pas, allez y sans moi. Et ne m'appelle plus comme ça, c'est horrible. 

Un sourire narquois apparu sur le visage de Gunhak avant qu'il acquiesce, attendant la fin du cours, qui arriva bien vite. Et sans attendre, le brun rangea ses affaires et fut le premier à sortir de la salle, se dépêchant pour prendre un bus, plutôt il sera là-bas, plus il gagnera. Arrivant à l'arrêt de bus, totalement essoufflé, son téléphone vibra mais il l'ignora et monta dans le car en saluant le conducteur, qui lui répondit avec un grand sourire. Cela surprit le brun, il n'avait pas l'habitude de voir ce chauffeur sourire, peut-être avait-il reçu une bonne nouvelle ? D'habitude il était plus à se morfondre sur son travail, et avoir le visage sombre et fermé, ce qui lui avait apporté, avec le temps, des rides. 

Trente minutes après, il descendit et se dirigea vers le bar, et comme pratiquement tous les jours, l'endroit était bondé. Mais cela n'empêcha pas le Son d'être motivé, il alla dans les vestiaires et se changea, il croisa Hyungu qui le sermonna de travailler trop. Mais il ignora ses remarques comme toujours et sorti pour allé derrière le bar, accompagné d'un de ses collègues qu'il ne connaissait pas tant que ça étant nouveau depuis quelques jours. 

Il enchaîna les verres, les cocktails, la vaisselle et il reçu quelques pourboires, il avait prêté ses oreilles à certains clients triste de leur journée puis, les avait réconforté avec des mots doux qu'il aurai voulu entendre pour lui. Comme chaque fois où il était au bar, il m'était sa douleur en silencieuse et prétextait être bien pour écouter les mésaventures des malchanceux triste. Il resta à son bar jusqu'à 4h30, c'était sa pause et il allait en profitait un peu, alors il sorti derrière le bâtiment et huma l'air de la nuit, lui rappelant la solitude dans laquelle il était. 

Il chercha son téléphone afin de voir les messages qu'il avait reçu, mais, il regretta quand il vu le nom de son proprio s'afficher avec 15 appels manqués et 5 messages. 

Message :   

: Bonjour, Monsieur Son, je vous envoie ce message car je n'arriva pas à vous avoir, j'ai un souci a vrai dire. Je ne vais pas pouvoir attendre un jour de plus, il me faudrait l'argent dans la matinée s'il vous plaît. 

: Je sais que cela est précipité mais, je ne peux plus attendre. Veuillez me comprendre.

: Si vous ne pouvez pas me donnez la somme, merci de faire vos bagages et partir avant demain, sinon je serai obligé de le faire par la force. 

: Vous devais aussi rajouté 20 euro car vous avez adopté un chien sans m'en parlé et qu'il dérange les autres résidants.

: Sur ce, j'espère vous voir à l'heure a votre appartement rangé et propre, pour que vous me donniez vos loyers de retard.

Le téléphone lui échappa des mains lorsqu'il eu fini, les larmes prêtes à couler, il allait perdre son chez lui. Ses mains ainsi que ses jambes se mirent à tremblaient, il fut sur le point de s'écrouler lorsque son collègue arriva l'empêchant de quittait  la dure réalité.

- Dongju, deux personnes te demande au bar. 

- Désolé mais dis leur que mon service est terminé. J'ai un problème chez moi.

Après cette prise de paroles Dongju se rua dans le vestiaire pour se changer puis courra dehors jusqu'à chez lui, si il attendait un bus il devrait patienter encore 1h30, même si rentrer chez lui à pied lui prendrai 2h, il n'avait plus le temps d'attendre. Son propriétaire allait être devant chez lui dans quelques heures, il n'avait pas l'argent, nulle par où allez et son appartement n'était pas ranger du tout, ce qui pourrait aggravé encore plus son cas. Et il s'inquiétait pour Comi. 

[ Je ne veux pas perdre tout. ]