Chapitre 27: L'amour n'est pas une faiblesse, c'est la base de la force (Part 1)

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/!\ Attention: Ce chapitre contient des sujets sensibles tel que des injures, des jurons, du sang, la torture et la mort. Je préfère vous en avertir pour vous éviter de surprises. Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez. :) /!\

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Bonne lecture à vous!!

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Précédemment dans La Poursuite Magique:

- C'est un très bon ami à ma famille qui tient ce motel, Mattheo Donovan. (Blanche Lewis)

- J'ai peur qu'ils aient enlevé ou descendu Donovan. (Blanche Lewis)

- Donc tu es un assassin?! (Dirk Cresswell)

- Eh bien, oui, en quelque sorte. (Blanche Lewis)

Puis, une ombre apparue.

Je m'avança jusqu'à elle et pointa mon arme sur la personne, sauf que la personne en face de moi tenait elle aussi une arme, pointée directement sur moi.

Ça sentait la souricière à plein nez.

Lundi 19 janvier 1998 - 14h17 pm:

Europe - Angleterre - Royaume-Uni - Grand Londres - Londres Motel Chile ingles (le piment anglais) - Chambre numéro 220:

Jour de fuite numéro cent-soixante-six:

Sans même chercher à savoir qui se trouvait en face de moi, je donne un coup de main sur la main de mon adversaire pour qu'il lâche son arme, mais il s'est avéré qu'il fit de même pour moi, nous faisons donc échanger nos armes. Armes échangées, pointées sur l'un et l'autre et se fixer en silence et à tourner en rond. J'en profite pour analyser mon adversaire.

La figure encapuchonnée dans un sweat à capuche noir me laissait supposer que mon adversaire était un homme d'un âge approximatif à celle de Ted.

Il avait une grosseur située entre la maigreur et l'obésité. Il faisait une taille d'un mètre quatre-vingt-cinq. Ses mains étaient larges et bronzées me laissant supposer que sa peau l'était également. Peut-être un membre du crime organisé mexicain ou espagnol.

Dans tous les cas, il était beaucoup plus imposant que moi, me laissant peu de chance de le vaincre. Mais je n'avais pas été éduquée dans la peur d'un adversaire plus grand et plus lourd que moi. Je dois toujours essayer avant d'abandonner. Et puis, si je ne faisais rien, il risquait de tuer mes amis et c'était la dernière chose que je voulais.

Je prends donc l'initiative de l'attaquer en premier.

Je saute sur lui et enroule mes cuisses autour de son cou avant de resserrer mes muscles autour de sa gorge pour l'étouffer.

Cela eu de l'effet sur le coup, mais rapidement, il reprit ses esprits et il m'attrape l'épaule et me fait basculer par terre, sur le dos.

Je me relève d'un seul bon et glisse entre ses jambes pour récupérer l'arme qu'il avait fait tomber pendant que je l'étouffais.

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