Livai X Reader [No time to think]

Chapitre 32

(TW : lemon)

Tu as besoin d'air. Même si tu as réussi à ne pas paniquer depuis le début, tu commences à vouloir sortir d'ici. Tu emmènes Livai dehors, il fait encore chaud. Il t'emmène là où vous vous êtes embrassés pour la première fois.

A peine arrivés, Livai t'attrape par la taille et t'embrasse. Il est fiévreux, tu te doutes qu'il voudra bien plus. Il t'embrasse le cou en caressant doucement ta poitrine. Puis il te porte et caresse tes jambes et s'attarde sur tes cuisses. Il est vraiment musclé car il tient bon sans fléchir. Il te repose et te fait signe de le suivre. Tu ne comprends pas vraiment. Vous vous enfoncez dans la forêt et au beau milieu d'une petite clairière, tu vois une tente avec des lampes.

Tu es sous le choc. Comment a-t-il pu préparer ça ?

« Ce soir, c'est la pleine lune et j'aime toujours dormir à la belle étoile. J'ai demandé à Marion qui m'a laissé préparer ça puisque c'est le contexte de la soirée.

- Livai, c'est adorable.

- Je tenais à m'excuser pour mon comportement, tu sais que tu es importante pour moi. »

Ça résonne dans ta tête. Importante pour lui. Il t'entraine dans la tente, éclairée par une petite guirlande de LEDS. Vous êtes un peu serrés, mais ce n'est pas dérangeant. Il caresse ta jambe en insistant sur tes cuisses, ta zone sensible, il l'a tout de suite deviné. Il relève ta jambe et frôle ta culotte. Tu te contractes légèrement, un peu apeurée par la situation. Il te rassure en te caressant le visage.

Tu poses ta tête sur son épaule, apaisée par ses caresses. Il t'allonge tout en t'embrassant, tu le sens se durcir. Il enlève les bretelles de ta robe, laissant apparaitre ton soutien-gorge. Il le regarde un bref instant, avant de le déboutonner. Il embrasse tes seins et les caresse, puis il t'embrasse.

Avec son autre main, il est parti te caresser ton entrejambe. Tu as légèrement sursauté au contact, mais tu t'es rapidement détendue. Tu peux profiter, et en te décontractant, tu as trouvé ça agréable. Mais Amélie, Marion, Jonathan vont s'apercevoir de ton absence, que vont-ils penser ?

Un petit gémissement te tire de mes pensées. Livai a commencé à caresser ton clitoris, et ça t'a surpris dans le bon sens du terme. Il est assez doux mais ferme tout de même. Tu lèves les yeux pour contempler le toit de la tente. Tes pensées tournent immédiatement vers David. Tu ressens du plaisir, alors pourquoi penses-tu à ton violeur ? Il ne t'agresse pas pourtant, qu'est-ce qui se passe dans ta tête ?

En t'embrassant, Livai te tire encore de tes rêves. Il continue ses caresses, tu te sens bercée. Tu lui souris péniblement et tu penches la tête en arrière. Ses cheveux noirs chatouillent ton ventre quand il l'embrasse. Puis tu le sens pousser, il enfonce son doigt doucement.

Tu lâches un petit cri de douleur. Ça te fait mal déjà.

« Détends-toi, ça ira bien je t'assure. Si ça fait vraiment trop mal, dis-le-moi. »

Tu hoches la tête en silence et essayes de te décontracter. Tu penses aux paroles de Dr. Yeager à propos de David. Je peux y arriver, je peux surmonter cette peur. Tu te détends et tu te sens déjà mieux mentalement et physiquement. Ta respiration commence à s'accélérer, tu souffles un peu plus fort.

Tu le sens rentrer un autre doigt, et tu ressens vraiment du plaisir. En effet, tes gémissements se font de plus en plus entendre. Tu passes ta main dans ses cheveux et il embrasse ta poitrine. Le moment est si beau. Livai continue encore quelques temps puis descends légèrement pour t'embrasser tes cuisses. Tu frémis au contact de ses lèvres. Il s'approche dangereusement de ton entrejambe.

Il s'approche encore, et tu sens le contact de sa langue contre ton clito. Tu es surprise agréablement. Il continue avec plus d'affirmation. Tu ressens encore perdre le contrôle. Tes mains sont encore dans ses cheveux soyeux. Tu gémis de plus en plus fort et ça l'amuse. Cette fois, c'est lui qui a le contrôle. C'est lui le responsable de tes tremblements, de tes petits cris, de tes spasmes.

Il s'arrête pour recommencer avec ses doigts. Tu te sens déjà plus détendue. Il déboutonne son pantalon et te regarde autoritairement. Tu te relèves et descends son pantalon doucement. Tu recommences encore à le lécher doucement, tu le sens durcir en toi. Il pousse sur ta tête, ou te tire par les cheveux. Il caresse un peu ironiquement ton diadème.

Tu commences à connaitre ses points faibles, tu le sens se raidir rapidement. Lui aussi commence à gémir, à ton plus grand bonheur. Tu sens de plus en plus qu'il s'abandonne. Alors, il te plaque contre le sol de la tente et t'embrasse passionnément dans le cou. Il enlève complètement ta robe, te retrouvant en sous-vêtement. Il retire tes chaussures en défaisant délicatement les lacets à partir des mollets. Il les pose soigneusement à l'extérieur de la tente.

Puis il se penche au-dessus de toi et te souris. Tu le sens au même moment rentrer en toi. Aie, tu as encore mal. Il commence alors ses mouvements de va-et-vient. Tu dois absolument te détendre. Détends-toi. Tu peux le faire.

Tu as beau te convaincre, c'est plus difficile. Cependant, il continue de te caresser doucement la poitrine, ce qui t'apaises aussitôt. Tu respires lentement, la magie opère : tu sens tes muscles au fur et à mesure se détendre. Il place ses mains en-dessous de tes fesses pour remonter un peu tes hanches. La sensation est magique, tu as l'impression de tout ressentir mais de façon multipliée. La douleur s'estompe et tu profites vraiment. Voyant que tu t'es relâchée, il y va avec plus de dureté et de fermeté.

Il pose ses mains sur ton ventre pour sentir quand il sort et rentre. Tu enlaces tes mains autour de son cou et emplie de désir, tu pousses des petits cris. Tu te cambres encore plus pour tout ressentir. Une explosion de sensations s'empare de toi, tu te mets à sourire bêtement. Tu te sens heureuse à ce moment-là.

Il accélère encore et tu te sens déjà fatiguée, pourvu qu'il finisse bientôt. Tu sens l'excitation et le plaisir monter à leur paroxysme, tout comme lui. Tous les deux, vous lâchez un gémissement et il t'attrape pour qu'il puisse finir dans ta bouche. Tu finis tout sans qu'il ait besoin de te le faire remarquer, tu as appris la leçon de la dernière fois.