Abruti(e) • Bakugo X reader

| 8 À qui pleurera le premier

Yo,

Les gens qui lisent mon histoire ça ce voit que vous êtes beaux

Bonne lecture

<3

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Mon dernier jour des cours s'était bien passé.

J'avais eu l'occasion de créer un lien plutôt amical avec Fumikage, bien que je le considérait pour l'heure comme mon principal rival.

Enfin, cette première semaine de rentrée à Yuei m'avais rapportée quelques ennuis comme des positifs.

Mais de question générale, je me plaisais dans cet établissement et mes camarades étaient tous, enfin pour la plupart, très agréables.

D'ailleurs, je vins à me rappeler que Bakugo ne m'avait toujours pas demandé ses deux autres récompenses, enfin, trois que je lui devais encore...
sérieusement, je devais songer à ne plus parier quoi que ce soit avec ce type avant d'attraper de sérieux ennuis.

En plus, il était en retard, et le bus venait de partir... et c'est seulement lorsqu'il accélérait au loin que j'entendis des pas de courses et un hurlement derrière moi.

- FAIS CHIER ! "

Je me retourna vers cette voix que je ne connaissais maintenant que trop bien, plus que blasée, avant de commencer à marcher, sans même attendre cet abruti.

Je soupira avant de lui demander, de loin :

- T'as trouvé ce que je te dois ? J'accepte tout sauf encore du putain de ménage, surtout si c'est pour que tu nous face rater le bus à chaque fois."

Le garçon m'avait rattrapé sans mal, et s'était mit devant moi pour me barrer la route.

- Fais attention à ce que tu dis espèce de poussière. Ne me fais pas te buter sans même avoir eu ce que je voulais, me menaça t-il, les sourcils froncés.

Je ris doucement et avec mépris.

- Je pense que j'ai plus de chance de mettre un terme à ta vie que tu n'en as, abruti."

Le blond ne réagit pas, et se contenta simplement de rapprocher son visage du mien, me faisant faire un pas en arrière tandis qu'il souriait bêtement de contentement, avant de reprendre, toujours aussi provocateur :

- Ah ouais ? C'est pas ce que tu disais pourtant quand tu te faisais chevaucher par moi la fois dernière, ta sale tronche dans la poussière ?"

Mon sang ne fit qu'un tour.

Venait-il de faire une quelconque allusion sexuelle ou étais-je simplement paranoïaque ?

Intérieurement j'étais démunie, mais je me devais de ne pas le montrer.

Alors, je lui souris et ferma les yeux, tout en faisant discrètement mouver du sable en direction de ses narines aussi grosses que son égo.

Mes doigts ondulaient doucement dans mes poches, alors que le cendré me regardait, interloqué, en attente d'une réponse de ma part.

Mais il fut plus que surpris lorsqu'il fut pris d'une soudaine et violente toux, ainsi que de démangeaisons aux yeux.

La rage traversa son visage quand il se rendit compte que j'étais la cause de cette torture, d'autant plus que je riais maintenant de lui à chaude larmes.

Le garçon battait ses mains dans l'air, tentant désespérément de dissiper mon attaques.

- T'es vraiment une putain de lâche ! DÉGAGE TON PUTAIN DE SABLE DE MOI !!"