Abruti(e) • Bakugo X reader

ARC NIDOTO | 45 Poison

Shit... l'avant dernier arc putain...
Celui la fera dix chapitres et le dernier cinq... il nous reste donc 15 chapitres à vivre ensemble ça me rends trop triste...

J'arrive pas à y croire j'ai presque mené cette aventure à terme j'suis trop nostalgique.

Attendez... fin Juillet, Août, octobre, novembre... à peu près quatre mois que j'écris... damn.

Les commentateurs depuis le début venez on devient potes j'vous aime trop moi 🏃🏽‍♀️

Enfin bon on est pas là pour chialer ( um um ) so let's goooo

Bonne lecture <3

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Haletante, je regarda le cendré retomber sur moi, épuisé.

- Quoi ? Demandais-je en le secouant.

- Attends... attends... putain... j'en peux plus bordel..."

- C'est déjà fini ? Demandais-je, comme pas certaine de la finalité de notre acte.

- Mhm ? Grogna Katsuki en fourrant son nez dans mes cheveux, alors qu'il me massait le crane.

- C'est déjà fini ? Redemandais-je en le repoussant sur le côté, histoire de respirer.

- Quoi !? Comment ça c'est déjà fini !? T'as pas aimé ou quoi ?"

- Si mais j'crois que j'ai pas terminé comme toi."

En un soupir, le cendré se redressa afin de constater l'état de son préservatif toujours enfilé, en effet plein.

- Toi tu t'es pas sentie... comme moi ? Demanda t-il d'une voix rauque.

- J'en ai pas l'impression."

- Donc ça t'as pas plu ?"

- J'ai pas dis ça."

- Tu m'as entendu à la fin ?"

En déglutissant, je repris conscience de ce qu'il m'avait chuchoté.

- Est-ce que... reprit-il dos tourné à moi en retirant la protection, est-ce que le fait que t'ai eu besoin de moi pour l'oublier et que je n'ai pas réussi à te faire jouir, est-ce que tout ça balaye totalement la valeur de ce que je t'ai dis ? Ou c'était juste pas réciproque, dès le début ?"

- Katsuki, commence pas..."

- Alors dis moi que tu m'aimes."

- J'y arrive pas."

En nouant la poche de silicone, le cendré soupira une énième fois avant de la lancer dans une poubelle par là, pour finalement, quelque affaires en main, se relever et se diriger vers la porte.

- J'me tire me doucher. Si tu veux rester vas te laver aussi."

J'entrouvris la bouche pour l'appeler, mais trop tard, il était déjà parti.

En soufflant, je me laissa retomber sur le matelas en étoile de mer, en tentant de mettre de côté les papillons qui me martyrisaient l'estomac.