Abruti(e) • Bakugo X reader

| 37 Mon pote

Les cours c'est difficile de ouf un peu donc désolée d'être moins active ;(

Votez svp et commentez la base vous savez à force - les lecteurs fantômes je vous invoque -

;)

Bonne lecture <3

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Plusieurs jours étaient passés depuis les événements du café.

T/P était rentrée chez elle, non sans recevoir de nombreuses visites d'un nombre incalculable d'avocats, de personnes de l'ordre, de médecins ou encore de son professeur principal, Monsieur Aizawa, qui la maintenait au courant en attendant qu'elle ne reprenne les cours.

Quant au côté de Katsuki, lui subissait quasiment la même situation, bien que moins. Physiquement, le garçon était en effet en pleine forme, et psychologiquement aussi se tuait-il à convaincre les adultes. Mais rien à faire, il était lui retenu chez lui jusqu'à Lundi, où seulement il pourrait retourner à l'internat puis en classe.

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- Des seances chez le psychologue !? "

- Tu m'as bien entendue T/P."

- Hors de question. Pourquoi faire ? "

- Pour que tu puisses vider ton sac, et avancer. Tu as vécu quelque chose de traumatisant mon enfant..."

- Et alors ? Je n'ai pas envie de « vider mon sac » à un inconnu. Vous ne pouvez pas m'y forcer maître."

- Je le sais bien, mais si tu pouvais y aller de plein grés cela aurait aidé."

- Je ne changerais pas d'avis. Maintenant, je vous pris de m'excuser, j'ai besoin d'air."

Sans plus de politesse, je me leva de la grande table basse en silence, en abandonnant par la même occasion mon déjeuné.

Je n'étais plus d'humeur à manger.

Ressentant le besoin de décompresser, j'alla jusqu'à ma chambre, pour ensuite ressortir par ma terrasse jusqu'au jardin et m'y défouler.

Sérieux quoi, aller voir un psy ?

Comme ils l'avaient fait pour ma mère ?

Je ne lui ressemblais en rien, et sur toute la ligne.

Pourquoi aurais-je besoin de ce genre de traitement ?

Je n'en avais pas besoin.

Tout ce qui comptait désormais était mon rêve.

Notre rêve...

Je devais juste devenir une heroine, et à tout prix.

Pour lui.

J'entendis les pas de quelqu'un raisonner dans mon dos.

Habituée à constamment rester sur mes gardes depuis l'incident, je fis volte face, prête à attaquer.

- Hey, c'est moi, Raki."

Étonnée de la visite du jeune homme, j'arqua simplement un sourcil en guise de réponse, avant de reprendre mes échauffements.