Chapitre 35

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Sameer : mon amour, je ne sais pas si je peux te dire la raison. Pas que je ne peux pas, mais je ne sais même pas c'est ça le problème. Il y'a que toi, tu es une femme à part. Je suis plus que chanceux et cela j'en remercie Dieu chaque minute de ma vie, j'ai eu l'impression que c'est la première fois de ma vie que je connais une femme. Je veux dire que je te connais vraiment en tant que femme, c'est vrai je me souviens que peu de la première fois car je n'étais pas ou nous n'étions pas dans notre état normal. Et les autres fois, c'est parce-que tu étais enceinte et c'étaient les hormones qui te faisaient faire ça. Alors qu'aujourd'hui c'est totalement différent. Je t'ai trouvé coéperante, tu m'as montré de l'amour, de l'affection, tu t'es donné à moi sans que je ne fasse d'effort ou que je ne demande. Du naturel tout court, je ne vais cesser de le répéter. Je suis l'homme le plus chanceux du monde, je t'aime et ce n'est pas à douter. Amirah qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire pour que tu comprennes que je t'aime plus que ma propre vie, pour que tu saches que tu es devenue indispensable à ma vie, que je ne peux pas vivre sans tes magnifiques lèvres, là en ce moment je ne vis que pour toi et nos enfants. Je ne sais avec quoi je vais te remercier, qu'est-ce que tu n'as pas fait dans ma vie ? Tu m'as tout fait au contraire. Avec ton aide et l'accord d'Allah mon père est rétabli, je serai alors une personne qui ne sait remercier si je viens à dire que je vais te donner quelque chose de moi même. Mais dis-moi qui es-tu vraiment ? En d'autres circonstances je regretterai le jour où le journal selon lequel toi et moi sommes ensemble, mais je n'arrive pas à détester même le jour là. Au contraire, je crois que c'est un jour merveilleux dans ma vie. Je t'aime Amirah, je n'aime que toi dans ma vie. Maintenant pour répondre à ta question selon laquelle pourquoi je pleure, je te dirai que ce n'est rien d'autre que du * bonheur *. Oui du bonheur dont je ne connais pas le type encore moins le genre, tu as changé ma vie, mon univers, mon monde, ma vision même du monde, tu as changé tout en moi. Tout chez moi. Comment ne pas pleurer dis-moi ? Si ça ne tient qu'à moi, les portes du paradis te sont ouvertes. Oh oui toutes les portes, tu es exceptionnelle !

Amy : tu es l'exception qui fait de moi exceptionnelle.

Ashy : quand est-ce que tu vas aller au royaume de ta mère ?

Amy : je ne sais pas encore, on doit planifier ça avec Mirah et les autres. En plus les parents iront également !

Ashy : mais c'est obligé ça et tu le sais. Vous devez aller ensemble, au moins pour le décès.

Elle ne répond pas et reste pensive dans son monde.

Amy : je ne sais même pas si c'est une bonne idée d'y aller. Je ne sais pas, j'ai l'impression qu'ils ne vont pas nous accepter. Regarde comment ils ont rejeté mes grands parents juste parce-qu'ils n'ont pas eu de garçon. C'est Allah qui donne ou qui ? On devrait peut-être leur laisser leur vie telle qu'elle est. Si mon grand-père ne les a pas accueilli chez eux, qu'est-ce que tu crois qui va leur arriver aujourd'hui ? Crois-tu qu'eux serons en vie avant même de penser à nous ? Imagine ?

Ashy : je comprends parfaitement ce que tu ressens mon amour, ce rejet ne m'est pas familier. Mais dis-moi tu ne veux pas voir ta maman et ta tante heureuses ? Ces brillantines qui brillent dans leurs yeux à l'idée de voir leur famille avec laquelle ils ont été séparé pendant des années ? Laisse-les voir leur sang, le sang de leur sang d'accord mon amour ?

Amy : je.....d'accord in shaa Allah je le fais, j'irai avec eux.

Ashy : merci beaucoup mon coeur, qu'Allah te bénisse. Tu es la meilleure femme du monde.

Amy : non c'est moi qui ai eu le meilleur mari du monde.

Il allait parler lorsque Ama commence à pleurer. Amy se lève pour la prendre mais il l'arrête.

Amirah & Ashraf : Sous-estimationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant