𝟚𝟚. ℝ𝕖𝕥𝕠𝕦𝕣 𝕔𝕙𝕖𝕫 𝕝𝕖𝕤 𝕡𝕒𝕣𝕖𝕟𝕥𝕤

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PDV EXTERIEUR :

Tezuka venait de fermer les yeux à jamais. Les garçons appelèrent l'ambulance. Celle-ci arriva au bout d'environ deux minutes. Les infirmiers la portèrent dans la voiture. Selon eux il restait un dernier petit espoir. Les jumeaux montèrent. Seul deux personnes était autorisées à monter dedans. L'ambulance partit, le brun et le châtain se dirigèrent à pieds vers l'hôpital qui n'était qu'à six minutes à pieds. Atsumu stressait, priant pour sa bien-aimée. Osamu pleurait, sachant qu'il n'y avait plus aucun espoir. Ils arrivèrent. Les infirmiers descendirent de l'ambulance, avec le lit roulant, courant pour la vie de leur patiente. Atsumu courait derrière, ne se préoccupant pas de ce qu'il y avait autour de lui. Il percuta quelqu'un, invisible pour lui aurait-on pensé. Il ne lui adressa pas un mot, continuant sa route. Le blond s'arrêta devant la salle d'opération dans laquelle il ne pouvait pas rentrer. Il s'effondra à genoux sur le sol, les émotions encore fortes dans son esprit. Son frère arriva pas à pas, si doucement qu'on ne l'entendit pas. Ses larmes avaient disparu. Son âme aussi. Il était comparable à un zombie. Détruit de l'intérieur. Ses yeux étaient gonflés, son regard était vide, ne contenant aucune lueur dedans. Il effraya une petite fille passant dans le couloir. Il ne la remarqua pas. Le voyant tout le monde se demandait ce qui le rendait tel un soleil sans rayon. Les gens voulaient aussi savoir ce à quoi il pensait. La vérité était qu'il ne pensait à rien. Il n'y avait rien à penser. Le gris s'assis sur une chaise près de la salle d'opération. Son frère toujours à terre. Ensuite tout se déroula vite. Les deux autres garçons arrivèrent, un infirmier sortit. Il expliqua qu'ils n'avaient rien pu faire. Atsumu n'eut aucune réaction, rongeait pas la tristesse, la peur, l'angoisse. Osamu, lui, si attendait et acquiesça simplement de la tête. Les deux autres gardons eurent quelques larmes pour cette petite fille et l'infirmier repartit. Quelques minutes plus tard, Atsumu avait repris ses esprits et s'était assis à côté de son frère aucune larme n'avait encore recouler sur ses joues. L'infirmier qui avait accueilli Tezuka ce matin avant même qu'il sorte de l'hôpital arriva devant eux, un carnet à la main. Les jumeaux levèrent la tête suivit des deux autres garçons.

Infirmier : Bonjour..

Les garçons hochèrent la tête en guise de réponse.

Infirmier : J'ai quelque chose pour vous. Votre...sœur..avait un journal. Je pense que vous le voulez ?

L'infirmier tendit le journal. Atsumu l'attrapa instantanément et ouvrit la première page.

Atsumu : "Cher journal, je m'appelle Tezuka, j'ai 12 ans quand j'écris cette page. Je n'ai jamais trop pensé à l'idée d'écrire dans un journal, mais.. Là je me suis dit que ça servirait à mes grands frères pour qu'ils sachent la vérité.. J'ai appris hier que j'avais une maladie rare et qu'il me restait environ 4 ans à vivre. J'ai appris ça le jour de l'anniversaire des jumeaux.. Je ne voulais pas leur dire. Je ne voulais pas les affecter.. Je suis donc partit loin de chez eux, loin de chez moi. J'ai étais porter disparut et j'ai donc dut aller dans un endroit il n'y avait pas grand monde. J'ai trouvé une petite maison à la campagne où habitait une vielle dame. Elle m'héberge chez elle en ce moment. Bref je dois te laisser, a plus !"

Une larme avait coulé sur la joue des jumeaux. Atsumu tourna la page impatient de savoir la suite.

Atsumu : "Cher journal, me voici quelques jours après. Je n'ai pas beaucoup le temps d'écrire car je dois aider mamie à la ferme. Parce que oui elle a une ferme ! Elle a pleins d'animaux ! Ils sont trop mignons !! Bref je m'égare.. Je ne t'ai pas dit quelque chose car j'hésitais à l'écrire.. Si mes grands frères voient ça je suis sincèrement désolé... Ma maladie est-"

Atsumu lâcha le journal sous le choc. Il n'en revenait pas. Les larmes coulèrent sur ses joues encore et encore. Suna ramassa le journal, continuant la lecture à la place d'Atsumu.

Suna : "Ma maladie est soignable. Mais celà coute de l'argent et je ne veux pas qu'ils aient a payer des sommes immenses d'argents pour moi"

Suna eu un moment d'arrêt. Lui aussi était sous le choc. Il leva la tête vers Osamu. Celui-ci était dans le même état que son frère. Suna posa donc le livre sur une table basse et se jeta sur Osamu pour entourer ses bras autour de lui. Sakusa sortit un mouchoir de son sac qu'il tendit a Atsumu. Mais celui-ci ne le vit pas, trop occupé à pleurer.

Sakusa : Atsumu ?

A l'entente de son prénom prononcé pas son "omi" pour la première fois de sa vie, il leva la tête. Le blond attrapa le mouchoir lâchant un petit "merci" à peine audible. Au bout de plus d'une demi-heure de pleure les jumeaux c'était calmé, même si le gris s'était calmé plus rapidement grace au châtain. Ils rentrèrent chez les jumeaux. Une fois arrivé, tous se posèrent un peu, pour récupérer de leurs émotions. Au bout d'une dizaine de minutes à avoir parler de tout et n'importe quoi pour d'étendre l'atmosphère, un d'entre eux pris la parole.

Sakusa : Je vais y aller..

A peine celui-ci s'apprêter à partir, qu'Atsumu le pris dans ses bras pour l'en empêcher.

A peine celui-ci s'apprêter à partir, qu'Atsumu le pris dans ses bras pour l'en empêcher

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Atsumu : Reste..

A la plus grande surprise du blond le brun ne le repoussa pas.

Sakusa : D'accord.

Ils mangèrent donc, se préparèrent et allèrent se coucher. Atsumu avait supplié Sakusa de dormir avec lui et celui-ci finit par accepter. Suna et Osamu dormirent ensemble aussi.

~~~ 1 mois plus tard ~~~

Les jumeaux s'était remis de tout ce qu'il s'était passé et avait repris une vie "normale". Mais ce soir aller être très mouvementé pour tout le monde.

Après les cours Suna partit directement sans dire au revoir à personne. Ce soir il devait retourner chez ses parents. Ils lui en avaient donné l'ordre. Mais ne voulant pas alerté ses amis, il ne leurs dit rien. Il arriva chez lui, et ouvrit la porte et a peine le seuil de la porte passé qu'il vit-

A suivre...
Désolé ça fait longtemps que j'ai pas posté excuser moiiii !!

Qu'a vu Suna ??

Osasuna/SakuastuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant