Nerf

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Après une semaine de plus passée chez mon frère, nous sommes reparti chez nous, à Cuba.

J'ai appris à connaître mon frère, je me suis beaucoup rapproché de lui. Ça n'a pas été sans peine que j'ai dû monter dans la voiture. Surtout en entendant Dahlia pleurer. Cette petite est vraiment une boule d'énergie, mais elle aussi tellement attachante. Ça a été un grève coeur de les quitter tous les deux mais Dimitri m'a promis qu'il viendrait nous voir.

Mais ça m'a fait du bien de retrouver la maison et j'ai vraiment eu l'impression d'être chez moi, de retrouver les gars et Lucia mais aussi ma chambre douillette. J'ai repris mes petites habitudes avec Armaàn, lui travaillant à côté de moi me demandant mon avis de temps en temps, cuisiner avec Lucia, me chamailler avec Alec. Ça m'avait vraiment manqué.

Nous venons d'aller nous coucher, plongés dans l'obscurité. Armaàn enroule ses bras autour de mon corps et me serre contre lui. Son torse m'enveloppe d'une chaleur confortable. Mes paupières sont si lourdes je n'arrive pas à les garder ouvertes, je cesse de lutter et m'endors.

Je me réveille au bon milieu de la nuit, je gigote un petit peu contre Armaàn et je sens sa queue durcir contre mes fesses. Je m'assois et je me positionne au dessus de lui. Son regard s'assombrit avant qu'il ne me renverse sur le dos :

- Tu es fatiguée.

Je souris malicieusement :

- Et alors ?

Comprenant le message, il me renverse pour se mettre au dessus de moi. Il écarte mes genoux et s'installe au dessus de moi. Nous sommes si proches l'un de l'autre que nous formons qu'un lui et moi.

- Alors laisse moi faire, mon ange.

- Comme d'habitude.

Je sais qu'il préfère me baiser fort, comme quand il me pilonne par l'arrière. Mon manque d'expérience l'excite particulièrement. Je sais qu'il en veux toujours plus, il est prêt à tout me faire découvrir.

Il enfonce son gland en moi et me pénètre jusqu'à ce que ses bourses frôlent mes fesses.

J'étouffe un cri, presque surprise par la sensation de chaleur, par la pression de son corps qui me comble tout à coup. Mes doigts se serrent aussitôt sur ses biceps et je prend une grande inspiration.

J'aime le sentir en moi, mais mon corps a toujours besoin d'un peu de temps pour m'habituer à son intrusion. Il replie mes jambes sous lui, rapprochant nos corps le plus possible. Puis il commence à me pilonner. Il me submerge à chaque coup de rein, me secouant de soubresauts. Ses muscles se gonflant à chaque mouvement. Mes doigts s'enfoncent dans sa nuque. Chaque fois que sa queue est entièrement plongée en moi mes genoux tremblent. Il me donne toujours l'impression d'être si pleine que je ne pourrais trouver la place d'accueillir ne serais-ce qu'un centimètre de plus. Je lui demande haletante :

- Tu aimes me baiser ?

Le visage tendu par l'intensité et le désir. Il ne pense plus à rien d'autre qu'à moi :

- J'adore ça, mon ange.

Ses doigts se resserrent autour de mon cou posant son doigt au coin de ma bouche :

- J'aime te posséder.

Je lui dit difficilement :

- J'aime quand tu le fais.

Il s'arrête soudain, j'étouffe un hoquet. Il me retourne sur le ventre et me mit à genoux, me giflant la fesse si durement que j'en glapis, la douleur me ramenant à la réalité. Avant que je n'aie pu protester, il renfonçe son sexe en moi avec une puissance qui me coupe le souffle.

El  Dragón ( En Correction ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant