PS : Petit aparté avant de commencer : les chapitres s'améliorent petit à petit. Donnez lui une chance si une ou plusieurs choses vous déplaisent dans le début, sentez vous aussi libre de me le dire en commentaire.
Merci de la commencer en tout cas, en espérant qu'elle vous plaira.Je reprend connaissance avec un terrible mal de tête. Le bruit d'un moteur de voiture me fait bourdonner les oreilles. Je me sens secouée et je me cogne contre des parois dures. Je tourne la tête dans tous les sens mais il est impossible d'y voir quoique ce soit, un épais tissu me bande les yeux.
Alarmée, je tente de changer de position, je me tortille mais mes mouvements sont laborieux mes jambes et mes mains étant liées.
Je fais des gestes brusques pour tenter de défaire mes liens. J'ai terriblement soif, ma gorge est sèche, il fait une chaleur étouffante là dedans. Je crois que je suis dans un coffre. Mais la question qui me préoccupe, c'est comment j'y ai atterri ? Et pour quelle raison ?
Je me concentre et j'essaye de reprendre mes esprits. De tenter de me rappeler ce qu'il s'est passé. Au bout de quelques instants la mémoire me revient. La dernière chose dont je me souviens, c'est que j'étais à l'aéroport de Seattle avec ma meilleure amie ou plutôt la seule que j'ai, et que je suis allée au toilette pendant qu'elle gardait nos places dans la queue du Starbuck.
Mais après, plus rien. C'est le trou noir. Alors qu'est ce que je fiche ici ? Comment j'ai pu me retrouver dans un merdier pareil ? Des larmes me brûlent les yeux mais je les retiens. Je suis presque tentée de hurler mais j'ai peur d'alerter mes ravisseurs, alors je garde le silence.
La voiture freine, j'entends des portières claquées et quand je sens un courant d'air frais sur mon corps, je sais qu'on a ouvert le coffre dans lequel je suis enfermée. Mais alors même que je m'y attend, lorsqu'une main me touche j'ai un sursaut de recule et un petit cri de frayeur m'échappe mais ce n'est pas ce qui arrêtera cette personne. Un étau se resserre autour de mon poignet et je me retrouve balancée sur une épaule comme une vulgaire marchandise.
Je devine que nous rentrons dans une maison grâce au bruit d'une porte et au son de ses pas sur le plancher puis il continue d'avancer et je crois qu'il ouvre une porte puis on descend des escaliers. Ça sent le renfermé et il fait froid.
Il est en train de me mettre dans un sous sol ou dans une cave. Génial !
L'homme qui me tenait me fais doucement glisser et je me retrouve sur mes jambes, il me dit :
- Ne bouge pas.
Je l'entend s'éloigner et évidement je ne vais nul part je ne vois rien et j'ai les membres attachés. Où veut-il que j'aille ? Il revient et me détache les jambes à l'aide d'un coup de couteau sec puis il prend mes mains, détache la corde qui liait mes poignets.
De toute manière je ne sais pas ce qu'il me veux mais je n'ai rien, je ne sais pas ce qu'il cherche. Peut-être une rançon ?
- Tu peux t'asseoir si tu veux.
Je fais ce qu'il dit de toute manière mes jambes tremblaient. Elles n'auraient pas soutenu mon poids très longtemps. Je le sens s'éloigner puis j'entends ensuite une porte claquée ainsi qu'une serrure qu'on verrouille pas la peine d'être devin pour savoir qu'il vient de m'enfermer à double tour.
Je décide de retirer mon bandeau à l'aide de mes deux mains. Je découvre comme je l'avais imaginé une cave, sombre il y a une ampoule au dessus de moi qui se balance. Je suppose que ce n'est qu'une partie de la cave étant donné l'étroite pièce dans laquelle je me trouve. Et je suis assise à même le sol frais. Il fait froid et je ne porte qu'un jean et un t-shirt. Au moins ce sont les mêmes vêtements que je portais avant que je ne me réveille dans ce coffre. Toute cette histoire n'a pas de sens, à moins qu'il compte réclamer une rançon et j'espère vraiment que c'est seulement pour cette raison car sinon je me demande vraiment ce qu'il me veux.
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El Dragón ( En Correction )
RomansaAvertissement : Dark Romance Je suis un atout pour lui, Mais je suis aussi sa seule faiblesse. Il est aussi détestable que captivant. Je suis aussi frêle qu'audacieuse Lui, Il tue sans pitié Mais il connaissait mon frère Angelica X Armaàn