El Dragón ( En Correction )

La Confiance

Il me pousse sans grande douceur me faisant tomber sur le lit.

- Hein ?

- Tu m'as insulté.

Le voir debout face à moi avec son air sombre renforce son aura dominante sur moi.

- Peut-être.

- Il me semblait qu'on s'était mis d'accord pour que tu ne m'insultes pas de connard,

Je me sens toute chose dans ses moments. Quand je vois une lueur primitif enflammer son regard. Toujours debout, il retire son teeshirt d'un mouvement fluide qu'il jette au pied du lit.

- C'est la deuxième fois aujourd'hui.

Je recule et m'installe plus confortablement prête à ce qu'il vienne à moi.

Lorsqu'il vient sur moi et qu'il se penche pour s'emparer de ma bouche, presque possessivement, sans douceur, ses gestes implacables, possessifs. Comme un roi réclamant ce qui lui revient de droit. Comme s'il voulait me prouver après ce soir que personne d'autre n'avait le droit de me toucher. Mon corps s'échauffe lorsque ses mains torturent ma poitrine. Me trouvant trop habillé, je me tortille pour réussir à me débarrasser des vêtements que je porte. Me voyant galérer, il m'aide après s'être ouvertement moquer de moi. Lorsqu'il revient sur moi, il reprend rapidement possession de mon corps. Attrapant ma chair fermement sans me faire mal. En réponse, je lui mord le lobe de l'oreille et enfonce mes ongles dans son dos. Ce qui ne fait que l'encourager. Il baisse ma culotte et je redescend de mon nuage lorsque sa main claque ma fesse.

Je me retourne surprise et je le vois me regarder lubrique :

- Ça c'était pour le premier connard.

Une autre atterrit sur ma deuxième fesse plus puissante que la première :

- Et ça pour le deuxième.

Des vagues de chaleur déferlent dans mon corps tandis que sa bouche descend le long de mon cou, me marquant par des baisers chauds et mordant ma peau fine. Il décide de me libérer définitivement de ma culotte en soie bleue. En commentant :

- C'est une nouvelle celle-ci.

Je lui répond, hors d'haleine :

- C'est Lucia qui me l'a acheté en ville.

Puis il se penche vers mon pubis pour y poser ses lèvres. Mais il se relève bien trop vite pour à son tour se déshabiller complètement et se saisir d'un préservatif. Il revient à mes côtés et reprend ses caresses sans cesse d'observer chacune de mes réactions.

Il se recule et d'un air autoritaire me commande :

- Retourne-toi.

Je hausse un sourcil, mais curieuse d'une nouvelle expérience, je m'exécute. Courbé sur moi, il me fait découvrir grâce à sa bouche les zones érogènes de mon corps jusqu'ici inconnu pour moi. Puis je sens ses mains s'agripper à mes hanches et il pose son membre dur contre mes fesses avant de relever brusquement mon bassin pour s'enfoncer en moi.

- Tu es à moi, gronde-t-il à mon oreille, me tirant la tête en arrière.

Loin de me déplaire ses mots me donne le chair de poule et augmente mon plaisir.

Je ne pus empêcher un cri de stupeur sortir de la bouche mais rapidement suivis de gémissements de plaisir lorsque son membre touche le fond de mon intimité.

Heureusement que j'étais suffisamment lubrifiée car au contraire de ses caresses il ne me fait pas du tout l'amour en douceur mais avec brutalité. Il s'enfonce profondément en moi avec vitesse. Comme s'il déchargeait sa frustration et sa colère de toute la soirée. Je ne peux plus bouger d'un centimètre, je me sens enfermée mais aussi protégée. Je me sens comme dominée, écrasée par son corps bien plus grand que le mien. Malgré cette sensation nouvelle, je sens le plaisir monter en moi.