Recherche un câlin pour une grincheuse

Chapitre 11 Souvenirs douloureux

Disturbed - the sound of silence

Sous l'eau glacé, mon esprit dérive vers le passé et revit mes derniers moments de bonheurs avant de découvrir la supercherie de Thomas. Mes larmes ne tarisse pas et je finis par m'agenouiller dans la douche en repensant à tout ça.

C'était une fin d'après midi du mois de Mai. Le temps étais magnifique, la chaleur agréable au point de mettre une petite robe. J'avais décidé de faire une surprise à Thomas en allant le retrouver à son bureau. Il travaillait dans un bureau d'architecte de la ville. Il étais douer, il avait même monter les échelon rapidement au point d'être demander plus que ses collègues. Il faisait beaucoup d'heures supplémentaires pour finir son travail. Il me disait toujours que son travail était sa passion et que je devais comprendre mieux que quiconque. Et que s'étais pour ça qu'il faisait autant d'heures. Je ne devais pas me plaindre selon lui. Lorsque je m'enfermais dans le hangars de mes parents pour bricoler, je ne me rendais pas compte du temps qui passer et que lui se retrouver seul à m'attendre sans arrêt. D'après Fannie, se n'étais pas sympas de sa part de dire cela et que s'était une forme de manipulation. Je refuser toujours en bloque et m'énerver souvent après elle, lui disant qu'elle détester mon petit ami et qu'elle refuser d'accepter mon bonheur sous prétexte qu'elle refuser les relations sérieuse.

Ce jour-là, je suis arriver tranquillement sans me douter de quoi que soit. La porte d'entrée était ouverte pour laisser entrée la chaleur. La secrétaire n'étais plus a son bureau. J'ai pensée qu'elle devait être rentrée chez elle depuis longtemps, il étais plus de 17h. Je me suis avancer dans le couloir cherchant la porte du bureau de mon chéri. Le bruit de mes pas était assourdis par la moquette. Des bruits ont commencer à se faire entendre au loin. Je me suis stopper lorsque j'ai reconnu l'origine des ses bruits. Des respirations fortes et haletantes se faisait entendre, le bruit de corps qui s'entrechoque et des cries aigus de plus en plus fort me parvenais aux oreilles. J'ai repris mon avancé priant pour que se ne soit que mon imagination.

Malheureusement lorsqu' enfin je suis arrivée devant l'entrée de son bureau, je ne pouvais plus nier la réalité qui m'éclatais en pleine face.

Thomas, l'homme pour qui j'aurais tout donner se taper la femme de son patron sur son bureau. Je n'oublierais jamais les images que j'ai vue se jour-là. Elles resterons à jamais graver dans ma mémoire. Mon petit ami prenait en levrette Jocelyne, cinquante quatre ans, mariée à son patron. Il beusonnier sa maîtresse avec force, le corps reluisant de sueur ne se rendant même pas compte que je l'ai observer depuis l'entrée. Jocelyne criait de plus en plus fort arrivant au point de rupture. Thomas la marteler de coups rapide lui enserrant les seins et tirant sur ses tétons. Puis s'en crier gare, une de ses mains sait aventurer plus bas et claqua sur son clitoris ! Le bruit raisonne encore dans ma tête. Il déplaçât ensuite sa main et inséra deux doigts dans le cul de sa maîtresse qui poussa un hurlement de jouissance !

Je ne pus réussir à retenir le cris d'effroi qui sortis de ma bouche. C'est à se moment là qu'ils se rendirent compte de ma présence. Quand il décida de se retirer d'elle pour m'approcher, je réussis à grande peine à retenir mon envie de vomir. Je pris mes jambes à mon cou et m'enfuie à toute vitesse. Espérant mettre assez de distance entre lui et moi, je suis remontée dans ma voiture pour retourner à notre appartement, le temps de remettre mes idées en place.

Il me fallut quinze bonnes minutes pour rentrée chez moi. C'est le temps qu'il me suffit pour prendre la décision de quitter Thomas et de faire mes affaires. J'étais en train de boucler ma dernière valise quand il a débarquait dans la chambre. Je n'ai pas eu le temps de réagir qu'il attrapât ma valise pour la jeter contre le mur.

- Qu'est-ce-que tu fait au juste ? Tu ne compte quand même me quitter aussi vite sans me laisser une chance de m'expliquer !!

- Je viens de te trouver en train de baiser une autre femme BORDEL DE MERDE !!! Tu crois pas que je vais fermée les yeux là-dessus ! BON SANG !! Tu ma trompé ESPECE DE SALAUD !!!!! Hurlais-je après lui.

Il sauta par dessus le lit et me serra dans ses bras au point que j'eu du mal à respirer. Il puait encore le sexe, le parfum de sa maitresse ainsi que des relents d'alcool . La nausée me prenait à nouveaux et je pouvais vomir à tout moment. J'essayer vainement de le repousser pour prendre de la distance. Un espace salutaire pour moi devait se faire rapidement si je ne voulais pas faire une crise d'angoisse. Je réussis à le repousser en appuyant sur ses côtes le plus fort possible !! Il se dégageât en grognant.

- Ne m'en veut pas voyons !!! Sa ne voulait rien dire avec elle ! Je ne le fait que lorsque j'ai besoin d'elle pour le boulot !

Je reste abasourdie face à ses propos et n'en reviens pas de se qu'il raconte.

- Tu ose me dire que cela ne compte pas mais quand plus ce n'est pas la première fois ! Mais bordel, tu n'est qu'un gros connard sans cœur !! Je te quitte, c'est terminer entre nous.

Lui tournant le dos, j'allais pour rattrapée ma valise lorsqu'une douleur intense me pris derrière le crâne. Thomas m'avait choper par les cheveux et tirer comme un malade pour me ramener vers lui. La force de son geste me fit atterrir contre le bord du lit et ma tête cognat contre le bois. Il me fallut plusieurs secondes pour me remettre les idées en place. Je me sentais sonnée par le choc. Il me releva et me cogna contre le mur puis me gifla à plusieurs reprises. Il se mit a me hurler dessus :

- Tu n'ira nulle part ma belle ! Rien n'est finis entre nous , compris ? Je vais maintenant aller boire un verre et quand je reviendrais on fera comme si rien ne s'étais passé ! Car on est fait pour être ensemble !!

Puis il est sortis comme si tout été normale entre nous. Je ne comprenais plus rien. L'homme que j'aimais n'aurait jamais fait ça. Il n'aurait jamais lever la main sur moi et ne buvait jamais. J'ai l'impression d'être tomber dans un cauchemar.

Après plusieurs minutes, j'ai repris mes esprits et fait mes valises pour quitter cette appartement et mon petit ami. Je suis retournée vivre chez mes parents avant de décider de partir. N'ayant plus de nouvelle de Thomas j'ai pensée qu'il s'étais fait une raison mais je m'étais trompée lourdement.

Quand je refait surface je me sens engourdie par l'eau froide. Ma peau est bleu et je n'ai plus de force. C'est à ce moment là que Fannie débarque et me retrouve par terre dans la douche. Le seul point positif c'est que je ne pleure plus.