Chapitre 16: Enfermement

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Salut, salut

voici un chapitre que j'ai eu  plaisir à écrire. ;)

N'hésitez pas à voter et à dire ce que vous en pensez en commentaire 

merci de me suivre 

love

Missou

Point de vue Alyssa: 

Nous étions dans la voiture, tourmentés par nos émotions, les plus tristes, les plus poignants de nos existence. Nous avions abandonné Shaun. Nos frères n'avaient donné aucun signe de vie.

 Nous étions transportées dans une fourgonnette avec les plus vils mafieux de la ville et nous ne savions pas ce qu'ils pouvaient nous arriver. J'étais désemparé mais j'avais arrêtée de pleurer lorsque Pietro m'avaient regardé salement en pointant son arme sur moi et en me disant de me taire. Il ne parlait pas et laisser ses hommes le conduire chez lui, enfin dans notre cachot, notre prison pour les prochains jours.

 Quand est ce que ce cauchemar va-t-il cesser. 

Je ne le sais pas, mais je commence à croire qu'ils faut nous sortir de ce pétrin nous-même. 

Si nous ne voulions pas être des marionnettes toutes notre vie, prenons les rênes de notre destin, enfuyons nous. 

Mais comment, avec des mecs armés jusqu'aux dents qui seraient prêt à nous tuer à toutes occasion. 

Mia se rapprocha de moi,  ses yeux verts étaient fuyants, ayant peur de chaque chose ou personne qui pourraient l'approcher. mais je connaissais ma sœur, c'était d'ailleurs la plus courageuse d'entre nous. Elle pourrait s'en sortir mieux que moi. J'en suis certaine. 

- Putain, Alyssa, les portables sont chez les Irlandais. rappelle-toi, ce que James nous avaient dit, sur les portables dit elle les yeux fuyants. Que vas t-on faire? 

-Je ne sais pas. Je ne vois qu'une seule solution, accepter l'emprisonnement et trouver un moyen de s'enfuir. 

Elle me regarda avec stupeur, 

-Moi je n'accepte rien d'eux , surtout l'autre pervers qui me dévisage du regard, haa il me dégoutes en faisant trembler tous son corps. 

On regarda Antonio, le cher cousin de Pietro, il était à côté du conducteur en train de faire de lui faire des blagues pour le moins... salaces. Le conducteur était en train de rire aux éclats avec Antonio et de ses frasques sexuelles. 

- Et là, elle me dit," je suis flatuphile, Antonio", elle me raconte qu'elle adore les odeur de pets pendant le sexe"

Le garde éclata de rire et demanda à Antonio, 

-Putain, non, Ant... Antonio, me dit pas que tu es resté avec cette foldingue!!

Antonio leva ses yeux en l'air et dit, 

-Bien sûr que oui, je suis resté avec elle, et ... je lui ai pété à la gueule

Le garde éclata de rire suivit d'Antonio. C'était clairement des vraies imbéciles congénitales. 

Je me concentrai sur Pietro , qui était assis avec nous, derrière dans la fourgonnette.  

Il y avait également deux hommes avec nous qui nous surveillaient. Ils ne nous quittaient pas des yeux. Ils avaient tous les deux des cagoules découvrant juste leurs yeux et leurs habits tout en noir faisait penser à des membres de l'élite spéciale de la police de mon frère, James. 

-Putain, c'est des robots ou quoi à nous fixer comme ça, me chuchota Mia, ce qui me fit sourire. 

-Je crois surtout que c'est des coincés du cul, dis-je à Mia en chuchotant et en lançant un coup d'œil à Pietro qui avait toujours les yeux fermés. 

La Casa Nostra Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant