Chapitre 31: Le match de Boxe (Partie deux)

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Salut mes cœurs, 

j'espère que vous allez bien. 

Un nouveau chapitre concernant le match de boxe et d'autres choses super importantes pour l'histoire.... J'espère que vous aimerez. 

Désolé d'avance pour les fautes, je recorrigerais ce chapitre dans la semaine. 

C'est le chapitre le plus long de l'histoire, enfin pour l'instant... 

J'ai adoré l'écrire!!!!! 
Ah oui, mettez brave shine da Aimer sur YouTube
Gros bisous. <3

Missou 

Point de vue Pietro. 

Le coup de poing direct de Nolan me fit mal.

 Vraiment mal.

 Une autre droite, sur le visage me donna un sentiment de tournis et de , comme si j'étais absent de ce match, comme si j'étais avec ma mère, petit. 

-Tu t'es encore fait mal en vélo mon chéri? dit ma mère inquiète. 

-Oui, dis-je pour ne pas lui faire peur. 

Ce qui était totalement faux, c'était des coups portés par mon père. 

Mais je ne lui avais jamais dit. 

Jamais. 

Ces coups consistaient à me rendre plus fort, me façonner à son image,  me rendre maitre, un jour de la Casa Nostra. De cette mafia que j'exécrais quand j'étais petit. 

A l'âge de dix ans, j'avais d'autres rêves que prendre la relève de mon père. Je m'exerçais deux fois par semaine dans ce ring que je détestais également. Je devais être le meilleur de ma catégorie.

 Je le devais. 

C'est ce que me répéter mon père. Chaque jour que Dieu faisait. 

Et je m'entrainais, jusqu'à voir les jointures de mes mains, devenir sanglantes. Un sang qui tombait en masse dans le ring. J'étais lobotomisé. J'étais devenu une machine de guerre. 

La machine de guerre de mon père. 

Mon père me répétait sans cesse que la Casa Nostra ne doit pas avoir de perdant . Et cet entrainement féroce, et intenable, je le faisais , pour lui, mais aussi pour mon frère et mon cousin. 

Fabrizio et Antonio... 

Je ne voulais pas les voir dans la même situation que moi. Non je devais tout porter sur mes épaules. 

C'était la seule solution. 

-Je vais te faire ton plat préféré avec Paula. D'accord, mon chéri?  déclara ma mère 

La voix de ma mère me fit sortir de cette léthargie et de mes pensées sombres et sinistres. 

Mes yeux commençait à briller. 

- Des lasagnes!!!

-Oui, dit ma mère en m'enlaçant. Je sentais son odeur maternel et m'enivrais. 

J'étais bien.

Oui tellement bien 

et je voulais rester. 

Mais ce n'était pas la réalité.

Je tombai à terre après quelques secondes de combat.  Ma tête avait heurter le sol du ring. Il était froid et je voyais vaguement les petits sautillements de Nolan. Il devait frétiller de joie. J'entendais Sergio criait: 

La Casa Nostra Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant