Chapitre 17: Maladie

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Bonjouuuur ou bonsoir comment allez vous?? 

On se retrouve pour le nouveau chapitre. 

J'ai ENORMEMENT aimé l'écrire. 

D'ailleurs, c'est mon chapitre préféré (pour l'instant). <3 

Dites-moi ce que vous en pensez et votez mes cœurs <3 

Bonne lecture 

Missou

Point de vue de Pietro 

Putain, putain, putain, comme si je n'avais pas assez de problème. Je n'ai vraiment pas que ça à faire, la fille Cole, putain. Quand je les ai laissé, elles allaient bien pourtant. 

Mais je pensais à une chose, tout d'un coup. 

En suivant Ali vers la cave , je lui demandai, 

- Vous leur avait donné à manger. Paula, leur a préparé leur plateau. Milan leur a descendu? 

Ali me dévisagea et soupira, 

-Non, je ne sais pas pour Paula , je croyais qu'elle était descendue. eE Milan est resté jouer à Fifa dans la salle de contrôle. 

Je m'arrêtai, putain, mais je suis entouré de con, je vais vraiment en buter un. Je suis vraiment trop gentil, putain. 

-Ali, appelle moi Milan, tout de suite. dis-je en descendant la cave. 

Antonio qui était resté à coté de la voiture descendit avec moi dans cette putain de cave. 

-Ali m'a dit qu'elle était en danger de mort.

 Elle avait une fièvre qui avoisinait les 41° et avait eu des convulsions. Putain , je pourrai vraiment la laisser mourir. Et ça serait un problème en moins;

 Mais elle mourra d'une balle de la tête,

  pas comme ça et pas maintenant

je me délecterai de la peur et de la haine entremêlés dans ses ses yeux.

- Putain, comme si on n'avait pas assez de problème, comment elle a pu choper ça. 

Je soufflai et sortit mon éternel paquet de cigarettes et allumait une cigarette avant d'ouvrir la porte

-Aucune idée, mais elles font chier. 

Nous trouvâmes Mia au chevet d'Alyssa, lui mettant une petite serviette imbibée d'eau. Mia paraissait inquiète et soucieuse. Putain, c'est vraiment la merde, elle est vraiment malade cette conne. 

- Salut, Miajolie, dit Antonio 

Elle ne se tourna pas vers nous, son visage était soucieux et elle était sur le point de pleurer. Elle était tout bonnement pathétique. 

Toujours sans se tourner vers nous, Mia prit la parole d'une voix extrêmement basse, 

-On a attendu notre plateau, hier soir, on a rien reçu. 

Je la regardai, elle avait du cran comme Alyssa. 

-Je sais 

Elle se tourna vers moi et Antonio, les larmes coulant sur ses joues, et elle dit, 

-Alyssa est comme ça depuis que je me suis réveillée, elle a fait des convulsions et à une fièvre bien trop haute pour un être humain normalement constitué et bien sur, il n'y a pas de putains de médecins dans votre baraque. 

Je la regardait et je prit un moment pour voir Alyssa dans son lit. 

Elle était dégoulinante de sueur, sa poitrine se baissa à chaque respiration. Une respiration erratique et sifflante.  Ses joues habituellement rosé était rouge du à la fièvre. 

La Casa Nostra Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant