Privilège

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Je me réveille dans un endroit que je n'arrive pas vraiment à distinguer.

Ce n'étais pas ma chambre et je ne sais pas ce qu'il m'est arrivée . En essayant d'ouvrir les yeux, j'aperçus une silhouette masculine se tenant devant moi. 

Cet silhouette je la connaissait évidemment et c'était Levi. 

J'essayais de me redresser mais un fort mal de tête me prit. Je remarquais aussi que j'étais dans la chambre de mon caporal. 

C'est un privilège que je n'oublierais certainement pas.

Levi: Tchh, reste allongée.

Y/N: Il c'est passé quoi ?

Levi: Tch putain... On était sur le toit et tu t'est évanouie.

Ah oui les souvenirs me reviennent...

Je me suis sentis pas bien lorsque j'ai entendu qu'uneexpédition aura lieu. En y repensant, le mal de tête revint alors j'essaie dene pas y penser. 

Levi: Tu m'explique il s'est passée quoi ?

Y/N: Je.. en faite...

Levi: Attend; tiens j'ai ramené notre dîner et tu m'expliquera en mangeant.

Y/N: Merci. dis je en baissant la tête de gêne

Je n'aimais pas que les gens ai pitié de moi. Pour moi, c'est une compassion que je n'ai pas besoin. 

Il me posa le plateau de nourriture sur son lit et vint se mettre en face de moi. Je me redressai et remarquai que j'avais le même contenu que sur son plateau. Je suppose que c'est donc un plat d'un haut gradé.

C'était une viande bien saignante accompagné d'une sorte de purée de légumes. Ils avaient le privilège d'avoir aussi du fromage et une entrée bien garni. 

J'avais même le droit d'un verre de vin ce qui est clairement interdit au soldat excepté lors des fêtes.

J'allais ouvrir ma bouche, qu'il me dit:

Levi: Estime toi heureuse que je t'ai ramené le plat d'un haut gradé.

Y/N: Oh.. mais..mer...

Et voila ! 

Quand je suis heureuse, je n'arrive jamais à faire de phrase correct alors j'agis. 

Je me dirige donc vers lui, puisqu'il était en face de moi en prenant soin de ne pas renverser le contenu de nos plats et le prit dans mes bras. 

Il ne s'y attendais pas mais me rendis mon étreinte.

Y/N: Merci... lui chuchotai je

Levi: Y'a pas de quoi gamine.

Y/N: Hhh...

J'étais bien dans ces bras. Je me sentais en sécurité.

Son odeur boisée mélangée à son odeur corporel qui est propre à lui, m'apaisée.

Je mis fin a notre câlin et il posa son regard sur le mien . 

Nous n'avions même pas besoin de parler que nous comprenions ce que l'on ressentait. 

Il se rapprocha vers moi tout en ne quittant pas mon regard et déposa ses lèvres sur les miennes.

Je mis mes mains sur son cou et ce baiser fut tellement délicat et rempli de sincérité. 

Nous nous décollèrent et je me remis en place pour manger mon plat car j'avais quand même très faim. 

Toi et moi jusqu'à la fin... levixreaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant