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Coucou ! J'espère que vous allez super bien ! En tout cas moi je vais bien. Les partiels se sont bien passés, on attend les résultats maintenant.

J'avais dis que le chapitre serait publié avant hier ou hier mais j'ai eu grave du mal à rédiger mes scènes car je les visualiser mais j'arrivais pas à les mettre a l'écrit. Et au lieu de m'énerver et de vous envoyer un truc bâclé, j'ai pris mon temps pour les rédiger.

Sinon je vous souhaite une très bonne lecture ! Gros bisous ❤️














CHAPITRE 17 : JAMAIS DEUX SANS TROIS

Point de vue : Elio

Je marche sur les pavés de ma ville. Mon regard vagabond sur les lieux. Aucuns habitants n'osent lever la tête à mon passage. Qu'est-ce que j'aime ce sentiment de puissance. De domination.

Vous devez vous demander pourquoi je ne traverse pas la ville en BMW comme tous les autres mafieux le font dans leur ville ?

Tout simplement que je n'aie pas besoin d'une bagnole pour montrer ma supériorité.

Je n'aie pas besoin de ma bagnole pour aller rendre une visite surprise. Je ne serais pas discret avec sinon.

Et puis ça a l'air con pour un mafieux mais j'aime bien la marche. Même si le trajet et court, cela me permet de réfléchir. C'est aussi pour cela que dans mon bureau je fais souvent les cents pas.

Mon regard continue son inspection sur les habitants. De loin, je vois un groupe de fille courir vers l'école. Mes yeux reste bloqué sur une brune dans le groupe. De dos, elle me fait penser à Ella. Ça me fais chier qu'Elias ait pris sa journée aujourd'hui pour emmener mi belleza je ne sais où.

Puta Élio sort la de ta tête ! Ça ne va plus là, il faut que tu arrêtes.

Cela fait un mois que je ne l'ai pas vu. Puisque de un : j'ai des affaires à faire tourner. Et de deux : quand je passais voir Layana car madame me demandait, elle était enfermée dans la chambre juste en face de la mienne.

Ah si je les vus il y a une semaine quand elle est sortie en trombe de la chambre en appelant Sara. Et qu'après être arrivé dans le salon, elle s'était effondrée. Par la suite, je me souviens de ses cris. Puis je me suis souvenue qu'on était le 4 septembre. Le jour du décès de ses parents.

Comment je le sais ? Simple. Cela avait fait le buzz sur les médias et les informations de télévision. Mais je l'ai surtout su dû à une conversation de mes parents et de ce d'Elias.

Et puis mon père et le père d'Elias étaient sur les nerfs en essayant de contrôler le décès du chef, du frère, en même temps que les affaires.

C'est vrai quoi. On venait d'apprendre que le grand chef du cartel de Sinaloa retrouvé dans son salon avec sa femme baignant dans leur sang. Et une petite fille de 3 ans allongée entre les deux corps les implorant de se réveiller.

En repensant à elle, je revois ses yeux sur les miens. Sa fine bouche que j'aimerai mordre. Ses cheveux où j'aimerai y mettre ma main. Ses putain de tatouages qu'elle a sur son corps. Et je suis sûr que je ne les aie pas tous vu dans le jet. Je suis sûr qu'elle en cache. Et la vache qu'est-ce que mon esprit me joue des tours en m'imaginant lui arracher ses vêtements pour regarder son corps sous tous les angles. Et bien plus.

PUTAIN IL FAUT QUE J'ARRÊTE!!

J'ai pas le temps pour cette merde que tout le monde appelle "l'amour". Ce n'est que de la merde qu'on raconte dans les livres à l'eau de rose.

Rien que pour tes yeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant