13.

2K 220 6
                                    

Comme promis avec la permission d'Abel, Dayanah pu enfin découvrir le palais dans ses moindres détails.

Malgré la chaleur étouffante de la matinée et le fait qu’ils est été clairement dans le désert les jardins apportait une touche de fraicheur indéniable.

Entre les fontaines, les plantes exotique et les sol en faux gazons, cet endroit était vraiment un rêve.

L’autorisé a visiter le palais n’était pas la seule folie qu'Abel avait faite. Depuis qu’ils avaient commencer a devenir proche.

Il lui avait même offert un atelier de peinture avec des matériaux extrêmement cher.

Ce qu’elle c’était dépêcher de refuser. Dayanah ne voulais pas s'habituer a vivre ainsi, sans se préoccuper de rien, après tous elle devait partir dans moins d’un an.

Mais ce qui la dérangeais le plus c’est qu'Abel, ne voulais jamais parler de Karim ou de sa vie pendant les dernières années.

On ne pouvais pas lui en vouloir de ne rien ressentir de spécial après 10ans de séparation. Mais ce qu’elle voulais c’était parler de Karim lui donner un aperçu de ce qu’il n’avait pas pu partager et peut être consentirais t'il enfin a pardonné a son frère.

Ce matin encore elle c’était arrêté devant l’atelier. Frappant l’air de son pied, en priant de ne pas être découverte, lorgnant la grande porte en chaine finement détailler comme un ennemi sourd et impossible a vaincre.

Son envie irrépressible d’y entré grondait si intensément que tous le monde aurait pu l’entendre s’ils tendait l'oreille un temps soit peu.


- Pour entrer vous devez poussez la porte.


Dayanah sursauta, la main prise dans le sac. Bakir qui se tenait derrière elle, la regardait d’un air clairement amusé.


- Bonjour Mademoiselle Dayanah, comment allez vous ?


Elle hocha la tête pour toute réponse essayant de retrouvé un second souffle.


- Vous êtes toujours décider a ne pas y entré ? Demanda t’il en montrant l’atelier du doigt.


Elle balbutia quelques mots qui finirent par se perdre entre ses lèvres. Bakir acquiesça. Mais finis par ouvrir la porte pour elle.

Dayanah en fut touché, et voulant échapper au regard et au sourire sarcastique du bras droit elle décida d’entré après l'avoir remercier d’une légère révérence.

Avant même que ses pieds ne soit complètement entré dans la pièce, Dayanah ferma les yeux, inspirant inlassablement a plein poumons l’odeur descriptible et entêtante de la peinture a huile. Elle n’avait plus toucher une toile depuis la mort de Karim.

Même si cela ne faisait que quelques mois, elle en ressentait une vive absence qui lui secoua le corps et l’esprit.


- Voyez que ce n’était pas si difficile. Elle ouvrit les yeux et lui sourit par-dessus son épaules. Avant de contempler la pièce de nouveau.


Même si elle était une artiste chevronner certain des matériaux sur lesquels ses yeux tombait lui était étranger, dans la mesure ou ils étaient trop chère pour qu’elle ai eu a se les offris.

Quoi que pour la plus part leur utilité était uniquement décoratif plus qu’utilitaire.
Enfin au milieu de la pièce un chevalet de toute beauté y était déjà préparé.


- Mon dieu tous sa est beaucoup trop !


- Vous pensez ?


- Oui


- Si quelque chose vous déplais je peut me charger de le remplacer. Annonça t’il avec un air des plus sérieux.


- Je disait sa dans la mesure ou il faudrait alléger la pièce et non en rajouter. D’ailleurs comment avez-vous sue ce qu’il fallait acheter ?


Bakir bomba la poitrine fièrement.


- J’ai demander a ce que l’on trouve tous les instrument les plus cher du marché.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant