10.

2.8K 259 2
                                    

Abel tenait encore le visage rougissant de Dayanah entre ses doigts lorsqu'un bruit de pas entre les arbres attira son attention.

A peine les pas de l'invité se fons entendre grâce a une brindille casser, qu'il recouvre Dayanah du foulard qu'elle avait sur l'épaule. Avant de la coller sur son torse fermement.

Entre ses bras elle essaye de se défendre mais il la maintient si fermement qu'elle n'arrive pas bouger le petit de doigts.

- S'il vous plait. Faite moi juste confiance.

Le prince arrogant qui l'avait accuser d'être une arriviste venait de lui dire s'il te plait.

C'était sûrement la seule et unique fois qu'elle l'entendrait dire ça, alors Dayanah arrêta de se débattre.

La sentant calme, Abel fait volte face, sans être déranger par le poids de la jeune femme.

- Mon oncle.

- Votre majesté.

Devant lui se trouvais HARMED NAHEL le cousin directe de son défunt père qu'il reconnu sans mal, en plus d'être son oncle, en raison de son âge il était devenue l'aînée de la famille et également ministre des affaires étrangères depuis des années bien trop au goût d'Abel.

Un homme a la carrure imposante comme l'était les hommes de la famille Nahel, même s'il était plus connue pour ses coups bas que pour son devoir accomplie.

Et maintenant il était deuxième prétendant a la couronne avec Karim mort, ce qu'Abel se reteint de lui annoncer.

- Voyons-nous somme entre nous, nul besoin d'appliquer le protocole.

- Protocole ou non le respect reste le même. Surtout qu'on ne t'attendait pas avant deux ou trois jours.

- Exact j'ai préférer écourter ma visite, il n'y avait plus matière a débat.

- Vraiment ?! Je suis heureux de te l'entendre dire. Tu as pris la bonne décision.

- Oui j'en suis certain. Nous garderons le monopole du site.

Quand il dit sa le sourire de son oncle disparait aussi vite qu'il était apparue. Les poings sérer il semble prêt a s'étrangler de colère.

Mais tous comme lui Ahmed connaissait le jeu de l'échiquier politique, comme pour tous membres de la famille royale, et le bluff en était la pièce maitresse.

Ne jamais se laisser dépasser par ses émotions

Abel le regarda reprendre son calme avec amusement, il appréciais être un mal de tête constant pour lui.

-— Voyons Abel ne fait pas l'enfant garder le monopole veut dire nous occuper de l'extraction et de tous se qui en découle, alors qu'il nous suffirait de le vendre aux européens ou au chinois pour...

—1 tiers des rentes et encore sa ne représenteras que le bénéfice d'une ou deux années.

— Même si, c'est toujours préférable que de faire le boulot nous même est ce que tu sais combien sa couteras...les matériaux...la main d'œuvre... ?

—Et bien le travail justifiera le fait de former de nombreux ingénieurs qui finissent par travailler sur ses mêmes plateformes que nous cédons presque gratuitement.

— Parce qu'il on les capacités et les moyen de le faire !

—Si eux y arrivent pourquoi pas nous après tout ce sont nos ingénieurs et nos hommes qu'ils utilisent. Et nous sommes assez évoluer pour ça.

— Je t'en prie réfléchis-y encore

— J'ai surement du mal m'exprimer parce que je t'assure que le sujet est définitivement clos...

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant