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Même si le palais devenais un peu plus silencieux la nuit, la chambre de Dayanah ne l’était jamais grâce a Amisa qui faisait la conversation pour deux en générale.

Plus le temps passait et plus elle découvrait en Amisa une jeune femme bien plus intelligente qu’il n’y paraissait et parfois même assez sournoise, ce qu’elle se cachait bien de montrer derrière son sourire innocent.

De toute façon ces piques étaient surtout a l’intention de Bakir la plus part du temps, et lorsqu’elle terminait enfin de se plaindre de son cousin, elle souhaitais toujours bonne nuit a Dayanah dans sa langue Natale avec un accent mélodieux qui lui plaisait vraiment.

—      Bonne nuit Amisa.

Alors qu’elle l’entend refermer la porte, Dayanah est devant sa fenêtre profitant du ciel dégager et des étoiles qui semble briller comme nulle part ailleurs.

Une sorte de routine qui lui permettais d’alourdir ses paupières avant d'allez dormir, mais la rien y fis. Ses yeux étaient sec et vif comme si elle avait avaler deux tasse de café noir.

Ce qui ne lui donnait pas vraiment envie de se mettre au lit, aussi soyeux pouvais être ses draps. Et ils étaient soyeux sans le moindre doute.

Mais maintenant qu’elle avait quasiment réuni toute les pièces du puzzle en ce qui concerne Karim, la question sur sa propre vie s'imposait a elle. Est-ce qu’elle devait continuer a vivre ici comme si de rien n’était. Avec Abel. Peut être qu'au final s’il l’avait détester au tout début c’était parce qu’elle était la femme de Karim.

La femme du frère qui l’avait abandonné lui et tout son pays.

Malgré qu'Abel donnais l’impression de ne plus se soucier du passé, Dayanah elle n’y arrivait pas.

En plus de regarder le ciel, il lui arrivait souvent de visiter le château le soir, depuis qu’elle avait reçu le droit de sortir a sa guise.

Marché dans les couloirs la nuit tombée, la détendais, même si elle errait sans but précis, elle appréciais l’atmosphère et le silence du désert qui engloutissait le palais.

De toutes les pièces c’était la salle du trône qui l’avait séduite, la nuit les lanternes à huiles projetait de magnifiques ombres entrelacs sur les murs immaculé, et l'encens embaumais facilement qui qu’on que s'y faufilait, une grande et magnifique pièce entièrement modeler du sol au plafond.

Il lui arrivait même de s’assoir sur le trône en saluant la foule imaginaire de la main.

—      Est-ce qu’il est confortable ? Fit soudain une voix masculine qui brisa le silence dans la pièce. Dayanah fit Volte face.

—      Oh mon d…

C’était Abel. Abel ! En le voyant elle se leva avec empressement, manquant de se retrouver a même le sol.

—      Que fait tu ici ?!

Il haussa les épaules en remontant les manches de la chemise qu’il portait en la rejoignant prêt du trône.

—      J'habite ici au dernière nouvelle

—      Non je sais…mais…

Il travaillait en générale jusqu’à très tard le soir, et jamais il ne c’était rencontré a cette heure de la nuit. Abel ne sembla pas en colère de la voir, ce qui la rassura.

—      Est-ce que c’est confortable ? Moi je le trouve beaucoup trop dur. Quoi que vue le nombre de Roi qui s'y sont assis se doit être normal.

Dayanah pouffa de rire. Elle avait encore du mal a croire qu’il pouvait se montré drôle et détacher. Mais il le pouvais.

—    Tu pourrais ajouter un petit coussin

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant