Sur la piste d’atterrissage, une foule d'homme et de femme apprêter guette l'arriver du Roi et de son cortège. Au milieu d'eux Un vieil homme Habillé d’un Sarie couleur ivoire s'avance seul vers les portes de l'avion quand celle si s'ouvrent enfin.
Lamdar Farouk, Le grand père d'Abel était très différent de lui, loin de la stature imposante des Nahel le vieil homme était de petite taille, son crâne pâle sans cheveux inspirait la sagesse et le temps qui s'écoule indéniablement.
Ses petits yeux marron assez banale ne pouvait pas être plus a l’opposé de ceux a quoi ressemblais son petit fils.
— Bonjour Grand-père.
Devant lui Abel lui serre la main chaudement pour le saluer.
— Ton arrivé était prévue dans deux mois si je ne m'abuse.
— Et moi qui pensais que tu aurais apprécier ma visite
— Ce n'est pas dans tes habitudes de faire des surprises.
— J’avoue, j’avais envie de prendre quelques jours de vacances.
— Tu n’as jamais pris de vacances, je te laisse un peu de temps pour trouvé une meilleure excuses Bania.
Leur conversation était brusque et peu chaleureuse mais cela ne signifiait pas qu’il n’était pas proche, bien au contraire.
Dayanah suivais leur échange caché derrière le dos large d’Abel, elle se décala légèrement pour finalement voir le vieil homme. Elle avala sa salive brusquement quand il la sonda avec insistance.
— Tu as une invitée ?
Abel l'attiras a ses cotés pour qu’elle salut son Grand-père. Dayanah se baissa et le saluât avec les quelques mots en arabe qu’elle avait appris avec Karim, et avec Amisa depuis qu’elle était a EDESSE.
Lamdar la détailla un instant, tous le monde sembla retenir son souffle pendant une seconde quand il hocha doucement la tête comme s’il l'approuvait. Sans qu’elle ne sache pourquoi, se geste lui fit plaisir, comme si elle était déjà acceptée dans la famille.
Rapidement Bakir fit disparaitre tout le monde sur le tarmac et ils restèrent tous les deux au milieu de la piste d’atterrissage.
— Comme c’est étrange
— Quoi donc ?
— Elle ressemble comme deux gouttes d’eau a cette jeune fille sur la photo que tu ma envoyer, la femme de Karim.
Abel faisait confiance a son Grand-père, alors il avait été la première personne qu’il avait contactée quand Dayanah était apparue du jour au lendemain.
— C’est elle…
— Je me souviens que dans ton dernier fax tu m'assurais qu’elle ne poserait aucun problème a la famille ?
— C’est exact
— Alors pourquoi est-elle encore ici ? Dans le pays ? Avec toi ?
La première fois qu’ils c’étaient rencontré, Abel avait détesté son Grand-père. Le trouvant trop sournois et intuitive.
Il avait tant parlé de Dayanah avec lui et de ses inquiétudes qu’il comprenait pourquoi son Grand-père était réticent a l’idée de la rencontré, même si ce n’était pas très flagrant en le regardant.
— Je t'avoue que je l'ignore moi-même.
— Bien, et si nous y allions tous le monde est impatient de te voir comme toujours.
VOUS LISEZ
"LA FEMME DE MON FRÈRE "
RomanceAprès presqu'une année de deuil durement mener, Dayanah voie sa vie voler en éclat quand un inconnu viens lui apprendre que l'homme qu'elle aimait était en realité le prince Héritier d'un pays du moyen orient. Si au départ se rendre au pays du dése...