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En début d'après midi tout le monde se hâtait pour tout organiser avant le départ. Entre l'excitation et l'appréhension Dayanah avait passé la nuit a imaginé le moment ou elle verrais Abel de nouveau.

Après l'annonce du voyage, ni lui ni Bakir n'avait montré signe de vie, ils avaient passé tous leur temps dans les quartiers du Roi.

En un sens elle avait été soulager de pouvoir respiré et mettre ses idées au clair sans avoir a posé les yeux sur lui. Et maintenant tous ce qu'elle pouvait faire était de prévoir la bonne attitude a adopté.

Lui dire bonjour, s'excuser, faire comme ci rien ne c'était passé. Essayer d'imaginer sa réaction la faisait a chaque fois frôler une crise cardiaque.

Au moins elle pouvait compter sur Amisa pour être toujours de bonne humeur.

- Est-ce que vous êtes prête maintenant ?

- Oui on peut y allez.

Elle n'avait pas compris un traite mots de sa conversation avec Bakir la veille, mais pour avoir appris a la connaitre elle savait pertinemment qu'elle devait avoir menacer le pauvre Bakir afin d'être du voyage.

Depuis qu'elle était arrivé, elle n'était jamais sortie d'entre de ses murs. Pouvoir visiter d'autre partie du pays même pour une courte durer était réellement merveilleux. Mais elle n'était pas certaine qu'il pouvait y'avoir plus beau que le palais royal.

Pour le jour Amisa lui fit porter une longue jupe blanche brodée et un petit gilet qui couvrait à peine son dos. Dayanah c'était faite au code vestimentaire du pays, cependant il lui arrivait souvent de se sentir trop peu couverte.

Mais c'était Amisa qui s'occupais de sa garde de robe, et elle préférait ne pas la voir en colère.

Dehors un attroupement c'était former autour des voitures qui devaient les conduire au tarmac.

Au centre de se petit monde se trouvait Abel, une taille digne et imposante, des épaules large accentuer par une chemise blanche et un pantalon marron qui soulignais ses interminables jambes musclées.

Dayanah ne pu s'empêcher de l'admirer scrupuleusement de la tête au pieds de l'endroit ou elle se trouvais.

Autour de tous ses hommes a la carrure peu négligeable, il arrivait quand même a se démarquer sans le moindre mal.

Quelque chose en lui sonnait juste, comme s'il avait été fait d'une manière différente des autres. Comme si être Roi était le seul chemin légitime pour lui.

C'était assez grisant de rencontrer ce genre de personne au moins une fois dans sa vie.

Malheureusement bien souvent sous les reflets du soleil dorée il lui arrivait de retrouver les traits de Karim en Abel. Cette mâchoire ferme et asymétrique, ses yeux percent et envoutant, se sourire cynique qui pouvait souvent passer pour de la condescendance, ce qui était très troublant et très dérangeant a la fois. Mais elle se reprenait rapidement pour ne pas faire ou dire quelque chose de fâcheux.

Quoi qu'il fût impossible de faire pire que ce qui c'était déjà passé.

Lorsque Abel se rendit compte de sa présence, se regard froid et métallique qui le définissait laissa naturellement place a un regard plus doux. Et comme a chaque fois qu'il posait les yeux sur elle une pression constante lui noua l'estomac.

Abel hésitât a s'approcher pendant un instant mais finis par venir a sa rencontre.

Alors qu'il s'avançait Dayanah remarqua que le tissu brodé de sa chemise était de la même couleur que ses vêtements. Elle espérait une explication de la part de la concerné, mais déjà Amisa avait disparu.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant