30.

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Les bras fermement agripper a la celle du cheval, le vent dans les cheveux, Dayanah peinait a croire qu’elle avait vraiment semer ses gardes du corps, non plutôt qu’elle c’était enfuîtes de l'étreinte d'Abel.

Encore loin d’avoir réussie a s’être échapper, Dayanah ne pouvait empêcher la peur de paralyser tous son corps alors qu’elle jetais des regard inquiets en arrière.

Terrifier a l’idée que sa disparition soit rapidement remarquer. Et qu'une ord de guerrier implacable se mettent a la courser dans le désert.

Son cœur battait a vive allure au même rythme que sa monture, et a chaque fois que le cheval tressautait et qu’elle devait se réajuster, sans se casser la figure.

Plus ils avançaient et plus la présence du désert devenait indéniable.

Les quelques cours d’équitation qu’elle avait prise dans sa courtes vie y compris celle depuis qu’elle vivait a Edesse lui permettais de ne pas tomber de la monture mais pas de la guider.

Tous ce qu’elle pouvait faire était de laisser le cheval galoper a sa guise.

Au bout d’un moment, le mirage du palais et de la ville disparu alors qu’elle jetait encore des regards a sa suite.

Bientôt seule l'étendu de sable dorée et brulant s'ouvrait a elle. Dayanah espérait qu’il savait ou allez ou au moins pas vers un danger dont elle ne pourrais venir a bout.

La chaleur elle aussi s'accentuais, mais ce n’était pas sa le plus difficile a surmonter.

Pour Dayanah c’était plutôt l’air sec qui asséchait, sa peau, sa gorge et ses yeux, la rendant partiellement aveugle alors que le cheval lui continuait a galoper a vive allure.

Finalement après un long moment, épuiser Dayanah osa tiré sur les reines et le cheval s’arrêtât au bout de quelques gallots.

Une fois descendu son estomac retrouva son centre de gravité, mais elle rendit tous ce qu’elle avait avaler la journée sous le regard de son complice.


— Désoler, je crois que notre petite balade ma retourner l’estomac.


Le cheval rumina bruyamment, donnant l’impression de l’avoir comprise.

Depuis quelques jours, elle n’arrivait plus a avaler quoi que se soit.

Heureusement dans son sac elle avait emporter un peu d’eau fraiche.
Après avoir bue elle en donna a son amie a quatre pâte qui accepta sans faire le difficile.


— Merci, c’est toi qui a du faire le plus d’effort de nous deux…


Le cheval siffla a son encontre de nouveau, amicalement tout en se laissant caresser.


— Maintenant qu’est ce qu’on va bien pouvoir faire ?


Dayanah caressa sa belle chevelure qui ressemblais a celle d’Achwak, la jument qu’Abel lui avaient offert pour excuser son silence.

Sauf que c’était Bakir qui était venue lui offrir la bête. A nouveau son corps la fit souffrir et son esprit s’embruma.

Jamais elle n’avait réagis de la sorte même après la mort de Karim.
Mais après l'accident Dayanah ne se sentais plus elle-même.

Elle se sentais nauséeuse, a fleur de peau. Susceptible de prendre des décisions a la va vite exactement comme maintenant.

Mais qu’est ce qui lui avait pris de partir comme ça toute seule dans le désert. Sans carte, sans escorte.

Elle était en colère contre lui mais pas au point de crée autant de problème.
Encore moins disparaître au milieu de nulle part.

Mais c’est ce qu’elle avait fait. Et maintenant elle ignorais par ou elle était arrivé ou par ou elle devait continuer.

Est-ce qu’Abel c’était déjà rendu compte de sa disparition ou peut-être qu’il s'enficherais une fois qu'Amisa commencerait a la chercher.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant