27.

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Dans la voiture Abel met fin à sa réunion téléphonique. La traque d'Hamed s'avérait devenir de plus en plus compliqué. Dans l'incapacité de publié son nom en tant que traite, la recherche s'éternisait et mettait la patience d'Abel a rude épreuve.

Et justifier sa disparition et la venue d'un nouveau ministre des affaires étrangères allait difficilement dans le même sillon. Cet homme lui donnait plus de mal maintenant, que lorsqu'il était encore a sa porté. Abel desserra sa chemise et allongea ses longues jambes sur le siège en face de lui.

Pour pouvoirs être au côté de Dayanah qu'il avait dû laisser quelques jours, il avait déménager ses appartements dans la capital, mais son travail ne lui permettais pas de se faufiler de temps en temps comme il l'aurais voulue.

Au moins il savait qu'elle n'était pas seule, Amisa, son ami Jade et son Mari était constamment a ses côtés. Amisa lui faisait un rapport chaque jours et avec tous les gardes qu'il avait mis a sa disposition il arrivait au moins a fermer un œil.

Sur le moment il avait été assez retissant a l'idée de les rencontrés après tous ils étaient amis avec Karim, mais quand Dayanah avait insister pour les lui présenter, Abel c'était dit qu'ils continuaient a franchir les obstacles petit a petit.

Abel ouvre l'écrins de la bague qu'il avait encore dans sa poche depuis le soir de l'accident. La bague y était toujours. Et il n'avait pas abandonné l'idée de demander la main de Dayanah, mais il lui fallait tous régler avant de le faire. Il fallait que Dayanah soit totalement en sécurité avant de devenir sa reine.

Quand il arrive a L'hôtel, ses gardes et lui empreinte une entré de secours et monte directement au dernier étages du bâtiment. Il était difficile de caché ses nombreux gardes a la vue de tous et surtout des journaliste, mais heureusement, sa gardes rapprocher savait se montrés discrète.

Quand les portes de l'ascenseurs s'ouvrent enfin, Abel entre d'un pas décidé dans l'appartement, mais son élan est refreiner par Bakir qui se trouvait en plein milieu du salon, habiller formellement et semblant l'attendre.

Cela faisait 28ans qu'ils étaient amis, avant même de sortir du ventre de leur mère. Bakir a toujours été à ses côtés, plus fidèle que sont propre frère. Abel le regardait alors qu'il avait encore la tête baisser. Et se rappela le jour où il avait pris cette bale alors qu'il visitait un village des frontières. Bakir avait plongé sur lui sans la moindre hésitation pour le protéger.

Toute sa vie, et avec l'entourage qu'il avait, il pensait que même son amitié avec lui était fausse et qu'elle n'était qu'une façade hypocrite, et que du jour au lendemain Bakir se retirerais si jamais les choses devenais trop dangereuse, mais Bakir était toujours resté, à ses côtés sans jamais se plaindre, enfin presque, et cela même lorsqu'il lui avait lui-même demander de partie il était resté.

— Bon qu'est ce que tu fait arrêté la comme un esclave, depuis quand tu m'attend pour poser tes fesses sur mon canapé.

Parla-t-il d'un ton détacher en allant se servir un verre dans le bar, entièrement aménager.

— C'est nouveau en générale tu touches toujours à mes alcools d'habitude ?

— Abel...

— N'en parlons plus, elle va mieux, c'est tout ce qui compte

— Je suis vraiment désoler...

— J'ai dit n'en parlons plus !

Abel remplie un second verre pour le lui tendre. Il n'y avait que peu de personne sur qui il pouvait compter dans se bas monde, ce ne serait pas très malin de réduire le nombre plus qu'il ne l'était. Ils continuaient a boire ainsi, pendant une bonne heure quand le téléphone de Bakir sonna. On lui annonça l'arrivé du chefs des forces spéciales de l'armée royales.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant