6.

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Amisa qui reviens dans la chambre les mains pleine, découvre Dayanah a moitié évanoui sur le sofa.

Elle vérifie sa température et ce met a paniquer, mais Dayanah ouvre les yeux a se moments la.


- Vous transpirez énormément, vous voulez que j'appelle un Médecin ?


- Non, j'ai juste besoin d’une douche froide


Amisa acquiesce et l’aide a se déplacer jusqu’à la salle de bain. Son corps était en feu, en raison du changements de climats.


Si la chambre était époustouflantes la salle de bain battait le record, c'était une réplique miniature et mieux équipé d'un sonna.

Contre tout attente la présence d’Amisa fu providentielle. Avec ses jambes qui la lâchait avoir de l’aide n'était pas de trop.

Amisa prépara le bain et l’aida a y entré, malgré sa gêne, la jeune femme ne semblait pas offusquer a l’idée de la voir nu.

Dayanah passa sa jambe en premier jaugent la température, mais une fois entièrement immerger elle accepta avec aisance ce baiser froids et strident sur sa peau assécher.

Le stress de ces dernier temps c'était accumuler, et le secret de Karim avait été la goutte d'eau.


- Merci beaucoup


- Je vous en prie, vous allez bientôt vous sentir mieux…


Les mots d’Amisa ne l'atteignait déjà plus, pour la première fois depuis des mois son corps semblait se détendre enfin, peut importe les sels de bain qu'elle avait utiliser c'était magique.

En fait tous dans cet endroit avait quelque chose de féerique loin de tout ce qu'elle avait connu.
Si seulement Karim avait agis autrement peut-être que les choses aurait été différente. Et a nouveau pour la première fois penser a Karim n'était pas aussi douloureux que d'habitude.

Le dénie fessait partie de la période de deuil et c'était le seul moment où les souvenirs était plus précieux que tout ou l'on se battait farouchement pour ne pas oublier.

Et Dayanah ne voulais surtout pas oublier même si c'était douloureux.
Depuis quelque jour elle arrivait à sentir les cernes sous ses yeux, le sommeil lui manquait et ce n'était pas faute d'avoir essayé.

Mais dans l'eau, elle arrivait presque à oublier tous ce qui pouvait la faire souffrir.

                              ***

Assis dans l'avion, Abel regardait le soleil disparaître peu à peu sous les nuages.
Peu importe le nombre de fois où on l'aurais vue se spectacle restais saisissant à tout égard...mais pas pour lui, qui referma le store d'un coup sec.

Il dégrafa avec force le haut de sa tenue, protocole l'exige en tant que roi, ses vêtements couche sur couche représentatif de la tradition de Zerane lui était indispensables.


- Votre altesse.


Un des gardes entra dans la cabine ou Abel se trouvait, mais ne reçut aucune réponse de sa part.

L'homme préféra allez droit au but, parce que si les réponses du Cheikh était la plus part du temps tranchante et sans appels ses silences était également signe de mauvaise augure.


- Nous arriverons bientôt, malheureusement je n'ai pas encore pu joindre Bakir pour le prévenir de notre arrivé.


- Est-ce qu'on sait quelque chose sur la personne qui l'accompagnait ?


- Non


Il lui fit signe de se retirer, ce que l'homme ne tarda pas à faire et avec une vitesse impressionnante.

Devant son homme de main qui avait pris la poudre d'escampettes Abel sentie la colère lui monté et grogna de frustration, maintenant il ne faisait plus d'effort pour être souriant ou ignoble même si l'attitude de son service l'exaspérait au plus haut point.

Mais Abel n'était pas en colère contre ses vêtements ou bien encore contre ses hommes.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant