23.

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— Ouvre la porte Dayanah Je sais que tu m’entend.


Abel ne pouvait pas imaginer qu’elle puisse croire un seul instant qu’il est pu lui mentir sur ses sentiments. Pire qu’il puisse être fiancé a Hashita.


Il fallait qu’elle ouvre la porte, pour qu’il lui explique. Abel était certain que s’il lui parlait, elle comprendrais, elle le croirais. En tout cas c’est ce qu’il espérait.

— Si tu n’ouvre pas, je le ferais moi même.

A ces mots il entend la serrure s’ouvrir doucement. Et Dayanah apparaitre dans l'encadrure de la porte.

Ses yeux était gonfler comme si elle avait pleuré.  Abel souffla agacer, mais rassuré qu’elle aille bien.


— Dit moi que tu n’a pas crue un seul mots de ce qu’elle t’a dit pas vrai ?
Dayanah continua a fuir son regard  caché derrière la porte entrouverte.


Abel la poussa doucement, progressivement, pour ne pas la blesser jusqu’à ce que la porte soit complètement ouverte.


— Tu as pleuré


— Non j’avais juste quelques chose dans l’œil.


Il essuya le recoin de ses yeux qui était encore humide. Abel la serra dans ses bras si fort que Dayanah eu l’impression d’être compresser.


C’était devenue si naturel pour elle d’être dans ses bras, qu’elle répondit a son étreinte du mieux qu’elle pouvait. Avant qu’il ne la porte dans ses bras pour la déposer sur son lit.


— Tu as pleuré et tu as réellement cru que je t'avais menti.


— Non c’est pas ça !


— Vraiment alors tu n’a pas penser l’espace d’une seconde que depuis tous ce temps je me moquais de toi et quand réalité, Hashita deviendrait ma nouvelle femme.


Dayanah se jeta sur son torse pour enfuir son visage. Et sauver le peu de dignité qu’il lui restait.

Abel, souffla a nouveau agacer et en même temps rassuré qu’elle soit de moins en moins méfiante.
Il supposa qu’ils avaient plus au moins avancé. 

Avant aujourd’hui il l’aurais sûrement trouvé entrain de pleuré ou arrangé ses affaire dans le but de vouloir partir.

Enlacer l’un contre l’autre, Abel entend du vacarme venir du couloir.

Hashita n’était pas du genre a partir en silence, et il fallait qu’il s'en occupe mais il ne voulais pas non plus laisser Dayanah toute seule.


— Tu devrais y allez, je reste la, t’inquiète pas. Dit elle en le mettant dehors.


Abel ne voulais qu’une chose, mettre Hashita a la porte et revenir auprès d’elle.

Quand il revient dans la grande salle, c’est soupçon sont avéré, Hashita s'en prenait aux employés qui l’empêchait de monter dans les quartiers réserver au Cheick. Agacer pour de bon Abel libère la pièce et reste en tête a tête avec Hashita.


— Y’a des moments ou je regrette de ne pas être un sauvage qui frappe les femmes. Parce qu’il y’en a certaine qui ne semble assimiler  que par la force.


— Je t'en prie Abel ne soit pas si cruel. Sa voie tremblait, au bord des larmes elle semblait se battre pour rester debout.


Abel était assis sur l’un  des fauteuil, sa main frottant douloureusement  son  front.


— Abel, tu va avoir bientôt 29 ans.


— Merci de me rappeler que je suis vieux.


— Non, ce n’est pas ce que je veux dire. Ce que je veux dire c’est que tu dois te marier, pour offrir un héritier à la principauté et je suis prête à devenir ta femme.

"LA FEMME DE MON FRÈRE "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant