"LA FEMME DE MON FRÈRE "

11.

Le prince Karim Nahel dit AL-AJHINE KARIM NAHEL de son vrai nom, premier prince du royaume D'EDÈSSE est mort, après une longue période en convalescence, il ne c'est malheureusement  pas réveiller a la suite de sa dernière opération.

Depuis bientôt 10ans le prince n'avait plus fait parler de lui et c’était retirer dans un lieu secret connue uniquement de la famille Royal.

Aujourd'hui ce n'est pas seulement la famille Royal qui perd un fils mais tout un pays qui perd un leader.
Voila ce que les journaux internationaux ne manquait pas d'afficher depuis que la nouvelle c'était rependu.

Depuis ses appartement Abel pouvait voir les gens arriver aux portes du palais, certain était autoriser a rentré d'autre non, ironie du sort, ceux qui pouvait vraiment prétendre ressentir de la tristesse était dehors, les autres n’étaient que des vautours prêt a se repaitre de sa chair.

Entre l’annonce des obsèques et le début de la cérémonie il ne c’était écouler qu’une semaine mais déjà l’entré principal du palais étais entièrement recouvert de fleur.

— Votre majesté… ?

Le prête qui s'occupais de la cérémonie préparais les premiers rituels dans la chambre d’Abel, qui fut celle de Karim a l'époque, de leur père et du père de leur père.

Une gigantesque pièce divisée en deux, la chambre et le bureau a l'écart dont les  murs principaux avait été remplacé par de gigantesque bibliothèques.

— Votre majesté est ce que tout vas bien ?

— Ou en étions-nous ?

— Votre frère était célibataire n'est ce pas ?

A cette question Abel se  crispa, et le visage si enfantin mais si Rebelle de Dayanah lui apparu.

Son frère n’était plus célibataire depuis longtemps. Karim avait réussi à trouver quelqu’un qui lui avait été précieux avant de disparaitre. Mais il se reteint de commenter.

Il hocha juste la tête pour toutes réponses, on y pouvait plus rien, si au moins Karim était revenu, vivant, il aurait pu lui permettre cet écart, mais maintenant le mal était fait.
Les traces sur leur vie a deux avait été effacé au bon soin de Bakir avant l’annonce officiel, Karim aussi n’avait pas pour projet d'exposer sa femme car se fut presque trop facile de faire tous disparaitre.

Un problème en moins sur la longue liste dont il avait hérité depuis sa prise de fonction.

Il avait cependant réussi à éradiquer une bonne partie de la résistance, mais  rien ne pouvait prédire une fin heureuse, les scandales était éviter, mais ses ennemis eux était toujours aux aguet.

Le prête se retiras une fois finis, les  rituels n'était pas uniquement annonce de mort mais le moyens d'accompagner le défunt dans sa dernière demeure, et ils ne s'arrêteraient pas avant la cérémonie de crémation.

—Êtes vous sûr de vouloir faire cela ?

Malgré Les plainte ou plutôt les supplications de Bakir, Abel refusa de laisser Dayanah toute seule, elle avait accepté tous ces caprices sans se plaindre depuis le début, alors il pouvait bien lui permettre d’être présente lors des funérailles de son mari.

Dans la chambre Abel tombe sur Dayanah les joues trempé face a son miroir. De toutes les scène auquel il pensait assisté celle la deviendrais surement la pire.

Aucun chant de bataille ne l’auras jamais déstabiliser comme cela, la voir pâle et sans force incapable de faire autre chose que pleuré lui déchiras les entrailles, elle bougeais a peine comme si son corps était pétrifier.

Après tous Karim était mort depuis 7 mois déjà, et lui demander de revivre cette journée n’était peut être pas l’idée la plus brillante qu’il est eu.

Au finale il demanda a Amisa de s’occuper d’elle, quand il referma la porte, il l'entendis pleuré ouvertement. Une autre ne se serait pas retenu, mais Dayanah était trop pudique, même pour montré sa douleur.

Pendant les jours qui suivirent la salle du trône était envahis de sari Blanc, vêtements caractéristique de deuil.