thirteen.

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤ღ

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤


Comme j'avais scrupuleusement appris, j'essayais du mieux que je pouvais de canaliser mon souffle, semblant être un des facteurs critiques au sport.

Ma musique me tapait dans l'ouïe, vibrait dans mes tympans pour me créer une bulle, me déconnecter des bruits extérieurs qui nuisaient à ma concentration.

Peut-être une semaine que je n'étais pas allé faire une séance de sport, depuis ce parloir entre Logan et moi. Peut-être à cause de Jesse, je ne m'étais pas encore totalement remise de la crise de larme de la dernière fois, ou de sa tentative d'excuses médiocre.

Le temps passait dans cette salle de sport où du plus possible, je me dépassais aux altères.

Depuis seize heure à peine, j'arrivais à ne penser à rien d'autre qu'à la résistance de mes muscles. Le temps s'écoulait à la vitesse de la lumière, et au loin, les faisceaux naturels s'affaissaient, pour laisser la pénombre dominer la pièce.

Il était à peine vingt-et-une heure lorsque je tombais de fatigue, lâchant la pression sur mes jambes qui tremblaient à présent.

Des grands souffles qui diminuaient la vitesse constante des battements dans ma cage thoracique.

J'allais repartir lorsque je sentais une présence chevaucher la mienne, derrière moi.

- excuse-moi? Murmurait-il presque pour ne pas me brusquer.

Un sursaut me prit immédiatement. Et c'était lorsque je tournais la tête vers la personne qui m'interpellait, que j'y voyais le même moniteur avec lequel Mya m'avait vu marié l'autre fois.

Des secondes de silence s'exerçaient entre nous, alors que tout mon corps vibrait sous mes battements cardiaques qui s'étaient accentués à la seconde.

Fixement, on se regardait droit dans les yeux avant que je n'eus le courage d'orchestrer même un son.

- excuse-moi.. répétait-il, devenu immédiatement rouge.

Regardant la plaquette qui lui donnait une identité, je voyais son nom ainsi que son age sur le sorte de pins qui était accroché à sa chemise noire.

Et m'être attardé dessus avait été une des pires idées de ma vie. Voir les muscles qui y débordaient, ainsi que son teint hâlé qui concordait parfaitement avec cette chemise.

Bordel les chemises noires.

- je.. ou..i ? Demandais-je, sans réponse. Qui.. t'as dis de me tutoyer ?

chute d'étoiles | IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant