nineteen.

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤ღ

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤




Ma tasse se remplissait lentement de lait chocolaté, fabriqué dans la cafetière multifonctions qu'avait acheté l'homme de cette maison. Après avoir appuyé sur chaque boutons existant sur cette machine, j'avais finalement eu ce que j'avais souhaité.

Le soleil venait tout juste de se lever, ses faisceaux me caressaient fraîchement la peau sans être trop agressifs pour. Le ciel était rosé, j'avais ce sentiment d'avoir été invincible tellement je m'étais levé tôt.

Peut-être car la sécurité que j'avais éprouvé dans cette maison m'avait fait n'éprouver aucune difficulté à dormir paisiblement. Dans sa chambre d'amis, son matelas avait été si moelleux que j'aurais presque cru dormir sur un nuage.

Et face à mon matelas rigide qui préservait ma posture de mannequin, je n'avais jamais passé une meilleure nuit.

Une folle idée m'avait prise sur le coup. Une deuxième tasse dans la main, à l'effigie de l'ancien club de Jesse, j'avais appuyé sur le café latte qu'il m'avait demandé chaque matin de lui préparer, pour laisser la machine le préparer à ma place. Pendant ce temps, bien décidé, j'avais chevauchée chaque marche de l'imposant escalier, à la conquête de la poignet de sa chambre, que j'avais enclenché quelques secondes plus tard, d'une manière douce pour qu'il ne se réveille pas immédiatement.

J'avais toujours adoré le réveiller. Il avait toujours eu cette faiblesse qu'avait été les réveils, qu'ils soient à sept ou dix sept heure, chacun de ceux-là étaient durs pour lui. Il avait eu l'habitude de ne plus mesurer l'ampleur de ses mots, les dire sans filtre, qu'ils soient durs à encaisser, ou non.

J'étais rentré dans l'espace de sa chambre. Face à la porte qui ramenait un peu de lumière dans cette pièce où régnait son odeur corporelle addictive, et une chaleur monstre. J'avais entendu chacun de ses souffles bas contre son autre oreiller. Les yeux clos.

La lumière faible de l'extérieur qui reflétait sur son visage m'avait fait devenir addict à cette vue. Il avait son visage si paisible, pour une fois qu'il n'était pas accentué par ses traits durcis pour une raison qui m'échappait.

- Jesse. Ai-je chuchoté, si bas pour ne pas brusquer l'homme qui profitait toujours aux bras de Morphée.

Aucune réponse de sa part.

J'avais pris la décision de m'asseoir au bout de son lit, à seulement quelques centimètres de la position dans laquelle il dormait.

Il s'était tenu droit, sur le côté, appuyé sur son bras gauche. Une des positions qu'il avait toujours pris.

- Jesse. Ai-je susurré de nouveau. Ellis, Lingard. J'avais fini par dire, toujours d'une douceur sans précédente.

chute d'étoiles | IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant