sixteen.

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤🫣ღ

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤
🫣



Les écouteurs dans mes oreilles, ma musique battait à l'intérieur à m'en percer les tympans. Sans réels émotions, je regardais la route qui défilait de l'autre côté de la vitre teintée d'une des diverses voitures de Rashford. Le GPS avait indiqué deux heures de route pour arriver à destination, et une heure trente plus tard, nous étions déjà arrivés dans la vaste ville de Middlesbrough qui ressentait l'euphorie d'un avant-match.

Le soleil commençait lentement à s'effacer, il colorait le ciel d'une couleur rosé sous les nuages qui le recouvrait d'une bonne partie.

Je pouvais sentir à la tension désagréable dans la voiture, que Kaylee essayait de combattre son stress constant par de la haine, certainement pour cacher le fait qu'elle avait une folle hâte de retrouver le père de ses enfants, ou cacher peut-être aussi le fait que malgré les disputes elle ne pouvait pas lui en vouloir plus de deux heures.

Les routes commençaient à se boucher plus la route vers le stade commençait à se raccourcir. Nous avions toujours eu l'habitude d'arriver en avance, pourtant aujourd'hui, nous étions supposés arriver en retard si nous prenions en compte la tonne de personnes présentes en fil sur toutes les voies de cette nationale.

L'obscurité commençait déjà à effacer les traits rosés des cieux, que très peu, mais cette minime différence commençait à sérieusement à me faire m'en vouloir pour je ne savais trop rien au final.

Trent nous avait réservé les plus belles places juste devant le but de l'Angleterre, car il savait mieux que moi que le plus croustillant se passait toujours en seconde période. Et nous, comme des abrutis étions arrivés en retard.

J'espérais intérieurement que une autre des copines de footballeur se trouvait à ce match, car les enfants sans retenus commençaient la guerre des places au moment où le ballon était lancé.

à travers mes écouteurs, mes oreilles décryptaient les insultes françaises que pouvait lancer Kaylee sans que ses enfants ne comprennent l'intégralité de ses mots crochus. Ses ongles tapaient en rythme le cuir de son volant, n'augmentant qu'encore plus le stress de tout le monde dans cette voiture.

Surement à cause de ses claquements d'ongles, mais également à cause des vibrations incessantes sur son téléphone qui indiquait un +44.

C'était surement ça le rôle de mari et femme, comme de fiancé à fiancée, ou même de copain à copine, de toujours être là pour l'autre dans les hauts comme dans les bas. à décrire son visage elle voulait y être pour l'hymne, admirer la personne qu'elle voulait épouser car c'était surement l'un des plus beau moment de sa vie à lui. Comme avec Jesse ou pour n'importe quel couple, cette règle était l'une de celles qu'il avait toujours respecté, et que j'avais toujours respecté, que je voulais également toujours respecter à l'heure actuelle, même si je le détestais autant que Kaylee prétendait détester Marcus egalement.

chute d'étoiles | IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant