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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤ღ

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤












Je sentais ma respiration éprit de différentes peurs lorsque je voyais son corps se faire sereinement arrêter. Et je n'eus la sagesse de rester à admirer ici durant plus d'une seconde. Les voix venant toutes d'en bas de mon immeuble ébruitaient les alentours de différents chuchots, de différents ragots en voyant ce footballeur se faire arrêter.

Pourtant, même après mes innombrables mises en gardes de ne jamais s'attaquer à quiconque pour le bien de sa réputation, je me faisais surprendre par sa rage monstre, exercée devant mon immeuble pour une raison qui m'échappait.

Dès le matin, cet engouement eut réussi à me dérouter, tellement que je n'arrivais plus à décrypter le mieux que je pouvais faire. Mon instinct de survie me criait de rester à admirer la scène qui me rendait blême. Mais les battements si fort dans ma cage thoracique avaient peur pour lui, d'une manière atroce. Alors, ce que me conseillaient mes battements exponentiels, étaient de courir, car la seule chose trouvé qu'il me restait à faire, était de négocier pour savoir ce qu'il avait fait, pourquoi, et surtout, comment.

- April ! J'entendais Mya crier alors que je m'avançais de pas précipités vers le bas de mon immeuble, pour ne pas qu'il l'embarque avant mon arrivée.

Pourquoi à cet âge là, il n'avait pas la sagesse de réflechir avant ses actes ? Bordel.

Je jure que si je l'attrapais, c'est moi qu'ils allaient embarquer.

Des milliers de cris me résonnaient en tête, pourtant mon visage crispé ne laissait passer aucun sons que j'aurais voulu lui crier, et n'assimilait aucun son extérieur que j'entendais lointainement, de Mya qui me suivait seulement pour me raisonner.

La grande porte de mon établissement fit un bruit de grincement, qui laissait toutes les voix volantes se stopper pour se retourner vers moi. C'était le spectacle du jour ?

- t'as fais quoi ? Je lançais à l'idiot qui était en train de se faire menotter, ses mains qui viraient au bleu.

La main de l'agent qui séparait la foule m'interdisait de passer, mais ma voix portante qui atterrit assez habilement sur lui, laissait son visage se retourner pour me confronter.

Instantanément, il abandonnait ses traits froncés pour donner une image un peu plus présentable de sa face. Il reconnut ma voix, et mon visage à quelques dizaines de mètres de lui le laissait presque blême.

- me regarde pas comme ça Jesse, je le prévenais, la machoire serrée.

- remonte. Il sortait enfin, me laissant remplir cet espace de mon rire nerveux. Je rigole p- aïe !

- April, on remonte ! M'ordonnait Mya, d'un air assez nerveux.

Ma respiration qui se canalisait peu à peu, emplissait mon corps d'air frais en évacuant toutes les pensées colériques qui assouvissait mon corps, à la perte de mon sang-froid qui peinait à rester en moi. Au fond, j'avais ce pressentiment lorsqu'il me regardait, que quelque chose l'avait poussé à se défouler sur une personne, que je ne voyais pas à travers la foule. Son regard qui éprouvait tant de rancoeur, qu'il entreprenait d'une peine grandissante un peu plus. Et ce regard, je connaissais ses répercussions entre milles.

chute d'étoiles | IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant