fifteen.

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤ღ

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤

Les gazouillis constants d'Amel s'entendaient dans tout l'appartement et je pensais même aux étages autour. Par ces bruits inarticulés, j'étais persuadée qu'elle essayait de me communiquer son euphorie.

Je lui avais simplement précisée qu'on allait au parc.

Un soupir s'extirpa de ma bouche instantanément. J'enfilais un pull qui m'arrivait à la fin de mes hanches avant de me pointer au salon où elle faisait des tours d'une manière incessante.

- Amel. Je l'appelais avant que son petit visage ne se tourne vers le mien.

Son sourire ravivait presque la pièce tant il était pur. Les mêmes fossettes que son père, et une euphorie qui me rappelait bien le bonheur constant du même homme.

Si il avait su qu'elle existait, j'étais sure qu'il l'aurait adoré.

Il ne me fallut que quelques secondes avant de reprendre totalement mes esprits, ma nièce me tendait ses bras avec un de ses sourires contagieux qui ne me fit que la suivre dans sa joie presque inexpliqué pour moi, pourtant je savais bien que j'allais y passer à un moment ou à un autre.

Avec le mien ou celui d'un autre.

Le parc.

[...]

Cependant, comme intermédiaire entre ces deux endroits, me paraissant ennuyant d'y aller seule, j'écoutais pour une fois les conseils de ma copine Mya,

je toquais à la porte d'une maison que je connaissais presque autant que la mienne.

Les frappes à cette porte résonnait dans la maison qui me paraissait comme vide. Alors j'y sonnais, accentuant cet écho qui me persuadait de cette pensée.

La fille de mon frère commençait à sauter de partout, sûrement pour passer le temps, car je ne voulais pas y partir sans elle.

Sans la personne qui m'avait toujours écouté, avec laquelle je voulais piailler sur son copain et mon ex.

Je toquais une nouvelle à la porte avant que je n'entende d'ici sa voix colérique me gueuler dessus, à travers la porte.

- je jure que si c'est un gosse avec des putains de cookies, je vais me le faire.

Elle ouvrait la porte et son visage se dirigeait immédiatement vers Amel avant même de me voir à ses côtés.

chute d'étoiles | IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant