eight.

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤ღ

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𝐀𝐩𝐫𝐢𝐥 𝐂𝐥𝐚𝐫𝐤





J'arrivais difficilement à discerner entre le flux de lumière, des chiffres affichant l'heure qui lentement avançait, d'une manière si frustrante.

La lumière qui s'incorporait plus le temps passait dans ma chambre accentuait mon impression d'avoir cogité toute la nuit. Mes paupières s'alourdissaient plus les secondes s'écoulaient, mon teint pâlissait à vue d'œil.

Ma nuit si longue avait bercé une nouvelle insomnie, mes songes se concentraient dans mon cerveau, pour amplifier ce sentiment de solitude que je ressentais au fond de moi, qui contrastait avec mes nuits accompagné de celui dont je n'avais que des nouvelles qui aggravaient mes remords.

Mon pincement au coeur qui ne s'était pas réellement discerné sur mon visage, j'entreprenais une légère peine à le voir une nouvelle fois partir de Manchester, sans regret, sans l'impression d'avoir oublié quelque chose derrière lui. Ou quelqu'un.

La vérité, était que ma rage était accentué de toute la haine qu'il avait jusqu'ici accumulé sur moi, et que cette bipolarité qu'il exerçait me faisait tellement mal que j'en cogitais la nuit entière.

Pourtant, notre couple était si parfait qu'il fallait s'en douter, les failles ressortissaient toujours, et étendaient leurs brisures plus explicitement dans notre vie dommagées.

Le miroir accroché aux côtés de mon lit reflétait un teint blanchâtre, des yeux creux qui définissaient les preuves de mon insomnie. Cependant, je n'arrivais à décrocher mon visage de cette glace qui m'y réfléchissait. Mes cheveux blonds éparpillés sur mon lit, dont la clarté mettaient d'autant plus en évidence mon sommeil lourd.

Ce fut lorsque les bruits de coups à ma porte retentirent, que je sentais mon âme revenir à mon corps. Mes songes ravageurs s'évaporaient alors instantanément de mon cerveau, qui se laissa alors aérer d'un nouvel air.

J'empressais directement mes pas à la porte lorsque mon corps se retrouva prit de violents tournis, le laissant tanguer aux rythmes de mes marches rapides. En sachant pertinemment qui pouvait être derrière cette porte, un sourire franc s'affirmait sur mon visage blanchi, un sourire si sincère sur tous mes traits si dépourvus d'émotions.

L'enclenchement de ma porte d'entrée me fit voir un footballeur qui avait un grand sourire, ses cheveux d'habituels assez crépus, je les voyais gonflés de noeud.

Depuis sa dernière, il avait à peine le temps de prendre soin de sa chevelure.

Un petit corps se fit remarquer dans le dos du meilleur ami de mon ex, un grand sourire aussi débordant que celui de son père, ils rentraient à deux dans cette maison.

chute d'étoiles | IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant