Chapitre 29

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Alessio,

Je me réveil encore avec le sourire aux lèvres des événements précédent. Ma vie ne faisait que d'aller bien. J'étais complétement heureux. J'étais bien.

J'aurais peut-être pensé ressentir quelque chose du fait que je viens de détruire la vie de Meryl, que j'allais ressentir un genre de culpabilité. Mais il faut croire que non. Ma vie depuis ce jour-là n'a jamais été aussi ensoleillée. Et j'aimais cette sensation de plénitude.

J'avais une jolie compagne, un bel appartement et des affaires qui roulaient merveilleusement bien.

— Ça fait combien de temps que tu es réveillé ? Me demande la voix encore endormie de Rosalia.

— Une bonne demi-heure peut-être.

— Et ça fait combien de temps que tu m'observes.

Je riais en m'installant confortablement, un bras derrière ma nuque, je la regardais. Et je me trouvais chanceux.

— Une bonne demi-heure peut-être, avouais-je.

En me frappant adorablement sur le torse, elle me demande pourquoi je ne l'ai pas réveillée avant. Je bloquais son poignet dans ma main et je l'approchais de ma bouche.

— Parce que je n'aurais pas pu admirer à quel point je suis reconnaissable de t'avoir à mes côtés.

— Serait-ce une déclaration monsieur Grassi ? Me demande-t-elle en fixant mon regard.

— Voudriez-vous que s'en soit une mademoiselle Watson ?

Elle basculait la tête sur le côté pour montrer son hésitation et je prenais ça comme une invitation pour l'embrasser. C'était doux, chaleureux. C'était matinal et très réconfortant.

— Tu ne peux pas m'embrasser si je ne me suis pas lavé les dents, dit-elle après m'avoir repoussé d'une voix qui se rapprochait le plus à la plainte.

— Si tu crois que c'est ce léger détail qui va m'empêcher de te faire l'amour ce matin, désolé cara mais il m'en faudra plus.

Elle semblait convaincue car cette fois ci, c'était elle qui avait fait rencontrer nos lèvres. Je la faisais basculer pour qu'elle ait son dos de nouveau en contact avec le moelleux du matelas me retrouvant donc au-dessus d'elle. Elle portait qu'un simple ensemble de débardeur et d'un petit short qui allaient tous les deux se retrouver sur le sol de ma penthouse dans les prochaines secondes.

Je suivais la ligne naturelle qui faisait joindre sa gorge à son entre deux seins. Elle allaitait mon prénom. J'attaquais un de ses seins, le gauche, le plus sensible à ma langue des deux. Ce matin j'avais toute mon attention sur elle.

— Laisse-moi t'amener en Italie, dis-je en continuant l'activité dans laquelle j'excellais.

— Quoi ? Tenta-t-elle de dire entre deux gémissement.

— L'Italie, dans les prochains jours, accompagne-moi.

Je passais l'une de mes mains jusqu'à l'élastique de sa culotte. Impatient de sentir de nouveau toute son intimité sur mes doigts.

— Pourquoi maintenant ?

— On n'a pas pu fêter la St-Valentin comme il se doit, laisse-moi me rattraper.

On se fixait du regard, un regard avec beaucoup d'amour et de désir. Cette histoire d'Italie a germé dans mon esprit à l'instant même. Mais je pense que oui, c'est une bonne idée de rendre visite à mes parents, qui attendent ma venue depuis le nouvel an. Et pleins de projets viennent suivre cette idée.

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