Pardon ! (BxB) mature

31. Féconde-moi !

Notre couple était maintenant ensemble depuis quelques mois maintenant. Tyler avait réussi à se rendre à New-York maintenant et y avait aussi déposé ses affaires. Le châtain avait ressenti de l'appréhension avant de retourner à cette métropole car il y avait des souvenirs très tristes attachés à son passé que ce soit dans la rue, la trahison de Mark ou encore l'humiliation qu'il avait ressenti vis à vis de l'attitude de Marco. Le médecin avait compris cette peur et avait tout fait à la perfection afin de le rassurer, en lui montrant son amour et son soutien. Le châtain retournait donc de temps en temps à New-York pour rendre visite à son petit-ami. À son arrivée chez Marco, celui-ci se jeta sur lui pour l'embrasser à l'aéroport.
- Joyeux anniversaire Tyler !
- C'est demain.
- Ce soir, nous sommes que nous deux. Mario a rendez-vous avec sa petite-amie. Il y reste pour la nuit.
- Il va me la présenter ?
- Je crois bien que oui. Viens, allons à la maison.

Arrivé chez Marco, ce dernier le prend par la main pour l'emmener dans la chambre. Il fit s'asseoir Tyler au bord du lit et mit de la musique, un son rock et rythmé. Et la il commença à danser et se déshabiller : un vrai strip-tease !
Le T-shirt enlevé révèla un magnifique buste, et les fameuses tablettes ! Il était toujours aussi musclé mais naturellement, comme un sportif.
Il était légèrement poilu sur ses pectoraux et une ligne fine de poils noirs descendait jusqu'à son nombril, pour s'élargir ensuite vers son entrejambe. Il enleva sa ceinture et commença à déboutonner son jean, un magnifique boxer blanc apparait, très remplit, ses mouvements révèle son membre déjà très gros, horizontale qui s'étale vers son côté et forme une énorme bosse excitante. À ce spectacle, le pompier sentit une chaleur l'envahir.
Il pensait être dans un un rêve, jamais il n'aurait imaginé vivre un tel moment en vrai, son fantasme se réalisait.

La danse continuait et comme il était très prêt de lui, il l'effleurait souvent, et c'est la bosse de plus en plus gonflée de son entrejambe qui frôlait ses lèvres. Une très légère odeur musquée s'en dégageait, c'était une odeur de sexe qui excitait encore un peu plus le châtain. Il s'approchait encore et Tyler leva les yeux vers son visage : il souriait toujours.
- Elle est pour toi, tu peux la toucher. Vas-y j'ai trop envie !
Le pompier n'en pouvait plus, des frissons sensuels le traversèrent. Il rougit, leva sa main et commença une douce caresse qui lui fait sentir la fermeté et la force de son membre. Il gonfla encore, on en devinait maintenant tous les détails sous le tissus fin qui le moulait : le gland se détachait, il était énorme, massif, bien dessiné. Il était légèrement plus gros que la hampe et très marqué. On devinait son prépuce qui dégageait complètement ce gland impressionnant en formant un petit bourrelet. La hampe était droite et régulière, de grosses veines dessinait un réseau sous sa peau.
Son érection était maintenant à son maximum, sa verge se redressait et s'agitait sous les battements de son coeur. Une tâche humide apparaîssait au bout de son gland. Le cadet descendit doucement le boxer de son aîné, dégageant ainsi l'objet de son désir. Soudain libérée cette queue magnifique se redressa et venait se poser sur ses lèvres.

Le pompier se recula légèrement pour l'admirer : c'était vraiment un chef d'oeuvre ! Cette virilité de son étalon : la hampe était ronde et régulière, fortement veinée et légèrement recourbée vers le haut, elle était massive et puissante, impressionnante.
Elle se poursuivait par le gland, il était énorme, plus gros et épais que la hampe. Il était posé sur le prépuce qui formait un bourrelet sous les rebords bien marqués. Le prépuce se prolongeait du frein qui vient se terminer sous le méat bien ouvert duquel s'échappent des goûtes translucides, brillantes et épaisses qui glissent doucement en un filet qui venait se déposer sur la langue du châtain qui l'avait dirigée vers ce nectar odorant et délicieux. Le châtain leva encore les yeux vers le regard du médecin : il était maintenant brûlant, envoûtant, sa respiration étant devenue haletante.