Bonus : suite de la nuit de noces.

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J'ai trop hâte, j'en peux plus. Je me jette sur le sac de voyage posé près du fauteuil et en cinq secondes j'ai trouvé le flacon de gel lubrifiant. J'en verse une bonne quantité sur ma bite turgescente qui paraît prête à exploser et je tartine doucement pour étaler sans trop me branler. Je ne veux surtout pas risquer de juter maintenant et tout gâcher.
J'admire quand même le spectacle au passage, une belle grosse queue bien droite, veinée juste ce qu'il faut, plantée sur une belle paire de couilles qui dégueule de la braguette et terminée par un bon gros gland gonflé à bloc et rouge d'excitation. Le tout luisant de gel et pointé vers le ciel. Désolé si je me la raconte un peu mais je suis quand même fier de mon matériel. Et quelque part je me dis que c'est aussi en partie ce matériel qui m'a permis de conquérir le petit canon qui vient de devenir mon mari et qui va se le prendre dans quelques secondes...
Mon petit Tyler justement n'a pas bougé. Il attend bien sagement, toujours à quatre pattes au bord du lit, que je le prenne en levrette pour fêter l'événement. Il me regarde dans les yeux avec un air gourmand et je vois qu'il jette quelques coups d'oeil furtifs à ma bite. Il en veut c'est clair.
Je me repositionne derrière lui et je tartine ce qui reste de gel sur mes doigts dans sa petite raie affamée. Il gémit de plus belle quand le gel froid touche son petit trou brulant. Sans perdre une seconde je glisse mon gland dans sa raie et je le fais monter et descendre le long de son trou qui palpite à chaque passage. Je fais durer le plaisir volontairement pour l'exciter encore plus. J'adore le voir s'impatienter. En général il devient vulgaire et exige que je la lui colle le plus vite possible au fond du cul. Ce soir il a l'air plus romantique et il se contente de gémir. Je finis par céder et je lui demande.
- Tu veux que ton petit mari te fasse l'amour toute la nuit bébé ?
Il me sourit avec un petit air coquin et me répond en un murmure :
- Oui vas-y ! Montre-moi ce que c'est qu'une nuit de noce !

Oh putain qu'il est chaud ! J'en peux plus ! Je positionne mon gland tout contre son trou et j'empoigne ses hanches pour le tirer vers moi et l'empaler sur ma queue. 
- Tiens prends la bite de ton mari !
Après un moment de résistance son petit trou cède et mon gland s'enfonce d'un coup, comme aspiré par son cul. Un petit cri étouffé, Tyler encaisse sans protester, il a l'habitude de se faire ouvrir un peu brutalement. Je lui laisse quelques secondes pour reprendre ses esprits et s'habituer et je lui caresse le dos pour le détendre un peu. Je recommence à pousser ma queue dans son trou, tout doucement. J'envahis sans difficulté son merveilleux derrière et je savoure la chaleur et la douceur de son boyau qui semble se refermer sur ma queue et en épouser tous les contours. Tyler retient son souffle et ne fais plus aucun bruit. Il doit être en train de pousser de toutes ses forces pour me faciliter le passage. J'apprécie ses efforts et je tâche d'y aller le plus doucement possible pour ne pas lui faire mal. Je ne veux surtout pas gâcher tout alors qu'une nuit mémorable s'annonce. Je vois les petits muscles de ses bras se contracter et je devine qu'il serre les draps dans ses mains. J'aimerais voir son visage d'ange se crisper sous le plaisir et la douleur mêlés mais, inconvénient de la levrette, je ne vois que sa nuque relevée.
J'arrive enfin au bout et mes couilles gonflées buttent contre ses fesses. Je suis entièrement enfoncé dans son cul. Ce petit salopard a réussi une fois de plus à prendre toute ma queue en entier dès le premier assaut. C'est pas la première fois, loin de là, mais ça me surprend toujours. Tyler a toujours réussi à m'encaisser encore mieux que les filles. Je me retire en douceur de son petit cul et, quand il ne reste plus que mon gland dans son trou brulant, je me ré-enfonce en entier, lui arrachant un cri de plaisir et de surprise. Je ne lui laisse pas le temps de respirer et je commence des vas-et-vient lents mais réguliers. Après quelques secondes je sens son cul se desserrer et ma bite glisse de plus en plus facilement dans son trou. Il commence à gémir, m'indiquant que toute douleur a disparu et qu'il prend maintenant son pied. J'empoigne mon petit mari par les épaules pour m'enfoncer plus profondément dans son cul et j'intensifie mes coups de reins. Je profite du spectacle de son petit corps musclé secoué d'arrière en avant par mes coups de bassin et tendu par l'effort.

Pardon !  (BxB) matureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant