I Need U [Bangtan Boy] {boyXBoy} VKOOK

Impossible...

Je suis de retour avec deux jours d'absences désolée mais je suis malade XD ouais, dur :3
Bref, merci à tout ceux qui ne soutiennent ! Je vous aimes !! <3
Enjoy it~

Ma mère était sortie faire les courses. Je l'avait supplier de me laisser venir, j'avais un mauvais pressentiment mais elle m'as ordonner de rester ici pour profiter de mes dernières heures ici. Assis dans la cuisine, je me repasser encore et encore les mots de ma mère. Mes parents, ceux qui m'ont élevés et aimés vont se séparer pour x raisons. Mon enfance défiler devant mes yeux, mes premières crises de colère, nos sorties en famille et nos moments de tendresses. Tout, et ça me brise le coeur. Sous mes pieds, j'avais l'impression que le sol disparaissait.

Quand Tae descendit les escaliers pour me rejoindre à la cuisine, j'était encore dans mes pensées. J'avais vraiment un mauvais pressentiment ! Ça me pressait la poitrine et j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer.

- Kookie ?

Je relevait la tête, TaeHyung penchait sa tête sur le côté comme un chiot et me regardait inquiet. À sa vue si rassurante, je me mis à pleurer. Il me serra contre lui, ses bras puissants entourèrent mon dos. Je pleurait, il murmura des choses rassurante tout en embrassant mon front.

Quand je fus enfin calme, je lui racontait tout. Le divorce et mon mauvais pressentiment.

- Kookie, elle est juste partie faire des courses ! Me rassura Tae.

- Je sais mais... j'ai mal ici... Dis-je en serrant ma poitrine.

Il mit sa main sur mes doigts et ramena ma main sur son torse.

- Tu sens ?

Son coeur battait vite. Très vite.

- Je m'inquiète aussi, mais je ne laisse paraître. Fais pareil, tu seras bien.

J'essuyais mes larmes et me faufilais dans ses bras.

Après s'être doucher et déjeuner, Tae et moi préparions notre valise. Ont repartaient ce soir, mais au moins c'est fait. Je rester sur le canapé à regarder avec Tae des clips qui passaient. J'était vachement inquiet, voilà une heure que ma mère était partie et toujours pas de nouvelle. Et la douleur dans ma poitrine persistait. Tae m'entoura de ses bras et je deposais ma tête sur son épaule. Quand j'entendis la porte claquait je savais que c'était mon père. Je me dégageait de Tae et m'assis plus loin. Mon père pénétra dans la pièce et me sourit.

- JungKook ! Heureux de te revoir !

Je me levais, il me prit dans ses bras. Il recula et me regarda.

- Qui est...

Il pointa TaeHyung du doigt. Celui-ci se leva et salua mon père.

- Je suis Kim TaeHyung. Un ami de votre fils.

- Je vois... Il se tourna vers moi. Où est ta mère ?

- Elle est sortie...

- Nous devons parler.

- De ton divorce ?

Il me regardait surpris.

- Maman me l'as dit ce matin

- Avant de partir...?

- Oui.

- Je vais partir si tu es au courant.

Il sorti sans rien dire de plus. Je restait planté là sans rien dire. Tae entoura à nouveau mes hanches de ses bras. Je restait un instant comme ça. Quand le téléphone sonna.

Je partis décrocher.

- Allô ?

- Bonjour, vous êtes Monsieur Jeon ?

C'était un homme, il semblant agacer et ça m'angoisser.

- Je suis son fils...

- Je vois, serait-il là ?

- Il est parti il y à un bon moment...

- Dans ce cas, quel est ton nom ?

- ... JungKook...

- JungKook, je vais te demander de garder ton calme. D'accord ?

- Il se passe quoi !!!?

- Calme toi...

La colère montait en moi, mais j'avais peur... Tellement.

- Ta maman est à l'hôpital.

- Quoi...?

- Je voudrais que tu viennes reconnaître le corps.

- Le corps...? Elle est...

- Je suis désolé... On à tout fait pour la sauver...

- Impossible... Vous blaguez...

- ... Pardonne nous...

Je tombait sur le sol, le téléphone dans la main. Les larmes me montait aux yeux et je me mit à hurler. Tae coura vers moi et me demanda ce qui ce passait mais j'avais mal. Tellement mal que je pleurait et arracher limite mes cheveux. Ce sentiment de vide, comme un coup de massue qui atterrit sur ma tête. Ça faisait si mal, que j'ai cru mourir. Comme si un lien précieux que je chérissait depuis des années venait de se briser et de voler en éclat. J'arrivais pas à réaliser, que c'était la réalité et que c'était vrai. Le lien était briser.