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CHAPITRE 14.

Chapitre 14. Début de l'amour.

SAADI Nourhane

Ehsan— Tu comprends ? me chuchota-t-elle dans mon oreille.

Perdue dans mes pensées, comme à mon habitude, je n'avais pas prêté attention à ce qu'Ehsan venait de me dire. Ses paroles avaient glissé sur moi comme les ombres fugaces d'un rêve, alors que mon esprit vagabondait dans les méandres de mes réflexions intérieures.

— T'as dit quoi ?

Ehsa— Au lieu d'écouter le cours. Madame est entrain de penser à son mari por la vida qui va rentrer ce soir.

— Arrête mdr. Plus forceuse tu meurs ou quoi ?

Ehsan— Fait genre t'es pas heureuse qu'il revienne.

— J'ai pas dit que je ne l'étais pas.

Ehsan— Je suis sur t'as sauté de joie quand t'as apprit qu'il revenait sale meuf amoureuse va.

— Non même pas.

Ehsan— C'est haram de mentir. Personne y croit ici.

Je me mise à rire comme une conne.

Ehsan— Comme si j'allais la croire. Alors que ce matin elle a courut vers moi en criant qu'il allait revenir. « Oh Ehsan tu te rends pas compte comment il m'a manqué. » s'exclama-t-elle en enseignant de m'imiter.

— Bref.

Ehsan— Pour moi comme tu dis rien c'est que j'ai raison.

— Ouais si tu veux. Croit ce que tu veux. Tu me fatigues.

Ehsan— Ah voila t'as vu ? J'ai raison.

— Tu te fais beaucoup de film pour un truc qu'on sait que ça ne va jamais bien se finir.

Ehsan— Qu'est ce que tu racontes encore ? Des fois j'ai l'impression que tu crois qu'on est dans un film.

— Cest le meilleur ami de Ibrahim. Le connaissant jamais Ibrahim acceptera que son pote sorte avec sa sœur. De plus si c'est un mec comme Akrahm.

Ehsan— Acceptera que je me marisse avec lui. me corrigea-t-elle.

Je la toisa.

Ehsa— Te vexes pas hein. Je sais que j'ai raison.

— Toi toute manière tu vas voir. Je vais appeler Ibrahim tu feras moins la maline pétasse va.

Elle se tut et reprit les exercices qui y avait à terminer.

— Ah ça parle plus maintenant. On ne parle plus ?

Ehsan— Ferme la bouffonne. ria-t-elle.

— T'as trop la rage. riais-je à mon tour.