CHAPITRE 26.

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Chapitre 26. Amitiés brisés.










ABDELLAHI Ibrahim

Je me tenais dans la cuisine, occupée à nourrir Chahin, tandis que Nassim était au travail et Aïshayah s'occupait de donner le biberon aux jumeaux. Les odeurs alléchantes de repas mijotant emplissaient l'air, créant une atmosphère chaleureuse et familiale malgré l'agitation quotidienne. Les rires des enfants résonnaient dans la pièce, un doux accompagnement à nos tâches domestiques.





















Chahin— Tonton ?

— Oui champion ?

Chahin— Pourquoi tu dors avec nous tout le temps ?

— J'ai pas le droit de rester avec vous ? demandais-je tout en riant.

Chahin— Mais si. J'ai pas dis ça.

— Bah voilà.

Chahin— C'est juste bizzare d'habitude tu ne dors pas tout ça de temps avec nous.

Aïshayah— Chahin mange au lieu de poser des questions bêtes comme ça.

chahin— Wakha. dit-il en replongeant sa tête dans sa nourriture.

Aïshayah— Tiens prends-le, ils sont trop lourd tout les deux.













Elle me donna Ismahin.
















— Hmm.

Aïshayah— Putain vivement qu'ils grandissent. Je commence à avoir ma dose.

— Ah c'est toi qu'a voulu bosser hein.

Aïshayah— T'es une galère. ria-t-elle.

— Et sinon tu vas taffer un moment où tu vas continuer à faire la chômeuse ?

Aïshayah— Déjà je suis pas chômeuse. Je vends des tableaux islamique et toi t'es trop culotter pour une personne qui n'a même pas son bac clochard.

— Ça t'as touchée à ce point. Est ce qu'on a la rage comme ça ?

Aïshayah— Bref toi. Tu devais pas sortir. Aller va acheter ta voiture. T'es là tu parles encore avec moi.

— Ouais je vais pas tarder à y aller. repondis-je en regardant l'horloge.

Aïshayah— Et n'oublie pas les bricks pour Akrahm.

— Ouais t'inquiètes.


























Le bruit familier de la porte d'entrée qui s'ouvrait me fit lever la tête, et je vis Chahin se précipiter joyeusement vers le hall, sautillant d'excitation à l'idée de retrouver son père. Un sourire se dessina sur mon visage en entendant les pas familiers de Nassim qui résonnaient dans le couloir.















Chahin— Papa. cria-t-il en laissant son assiette sur la table.

Aïshaya— Chahin revient à table avant que tu prennes une tape bêtement.

Nassim— Wesh igo calme-toi. Est ce qu'on crit dans les oreilles des gens comme ça ? demanda-t-il en rentrant dans le salon.

— Y'a même plus de respect ici, le poto a appelé sa femme « igo ».

Taht sama' almaktub | Où les histoires vivent. Découvrez maintenant